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We Love Art : le mariage de l’art et de la musique électronique

Par Sheily
a20aa1291125afb615bf9c2349593d4e.jpgSamedi dernier, il convenait de se rendre à la Citée de la musique pour assister à la soirée We Love Art. Le site Internet vend cette nuit électro comme un « voyage à travers les tendances musicales qui font l’actualité ». Comment résister à l’appel de la branchitude ?

Accompagnée de mes Amis Inséparables, je tremble d’excitation à la perspective de vivre un double baptême: je ne me déhanche jamais au son de musique électronique et je n’ai jamais mis les pieds à la Cité de la musique.

Pour pénétrer dans les lieux, il faut franchir un barrage d’agents d’accueil munis d’engins à rayons lasers (ou X ou Y, je perds mon latin en matière de rayons). Car ici, on ne déchire pas les billets, mais on scanne les codes barres. Il s’agit en réalité d’un stratagème pour mieux détourner notre attention du spectacle à venir. Car durant toute l’opération de contrôle d’identification des billets, nous gardons les yeux rivés sur les mains de l’agent, subjugués par tant de technologie au service de la billetterie.

Sur le chemin des vestiaires, nous découvrons avec plaisir un cadre exceptionnel. Et de nous extasier sur les volumes, les courbes, les différentes scènes, les balcons et les escaliers. Tout cela à grand renfort de « Oh ! » et de « Ah ! ». Notre amie La Diva se lance même dans une tirade au sujet de Christian de Portzamparc (architecte des lieux), vite interrompue par Jean-No : « On n’est pas là pour disserter, mais pour danser ! ». C’est vrai que le décor éclipse presque la musique, malgré le nombre de décibels. En fait, la programmation de début de soirée ne déchaîne ni les foules, ni nos passions, alors nous prenons la direction de l’un des bars.

L’alcool aidant et l’ambiance s’échauffant, nous admettons in fine que nous sommes bien à un carrefour des styles, avec (dans le désordre) des pointures comme Mr Oizo ou DJ Ame, des concerts live d’Etienne de Crécy, Planningtorock et bien d’autres.

Et puis surtout, le plaisir des yeux ne fait que renforcer le plaisir auditif : que de jolis garçons aux soirées de musique électronique !

 

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