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Massacre dans les abattoirs… ces abattoirs qui nous font vivre….

Publié le 26 août 2012 par Philippejandrok

abattoir,fastfood,Macdo,Quick,animaux,bovins,caprins,porcsPour des raisons éthiques et de santé, j’ai décidé, il y a de nombreuses années de ne plus manger de protéines animales provenant de mammifères, en dehors des produits laitiers des caprins, ceux des bovins sont le plus souvent allergogène pour une majorité d’individus sur cette planète.

Le poisson de son côté, était déjà très compromis, mais depuis Fukushima, il serait également à éviter pour des raisons sanitaires, mais si on appliquait ce principe de précaution, l’industrie de la pêche dans le monde serait compromise et plongerait dans la précarité nombre d’hommes et de femmes, il faut donc ménager la chèvre et le choux et empoissonner les populations plutôt que de ralentir l’économie, c’est bien le drame d’une société qui détruit non seulement son environnement mais également sa population, dans une course au profit incompréhensible.

Il en va de même pour l’industrie de la viande et du lait dans le monde ; Les grands groupes de « fast food », Américains, Français, Anglais…, achètent leur viande à des abattoirs, parfois, ils contrôlent l’état des bovins et des porcs, mais souvent, ils semblent négliger les inspections surprises, car ils ne pensent qu’en terme de marges bénéficiaires, et « moins on en sait, mieux on se porte » il faut donc que la viande soit la moins onéreuse possible, qu’importe son état si elle satisfait aux normes purement sanitaires, afin engranger le maximum de bénéfice, et ce, au détriment même de l’animal à abattre.

Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que nous sommes témoins du martyr de bêtes envoyées à l’abattoir, mais cette fois-ci, trop c’est trop, âmes sensibles s’abstenir, je n’ai moi-même pas été capable de voir cette séquence jusqu’au bout :

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2012/08/23/miam-scenes-...

Si l’homme a besoin de protéines, il n’est pas absolument nécessaire qu’il les trouve dans la viande, il peut les trouver dans les céréales, les légumes, les plantes, les algues, la distinction de nos différents groupes sanguins dans la classification d’Adamo, nous montre à quel point certains groupes ont la nécessité de manger de la viande et d’autres pas. Si ceux qui ont la capacité de digérer la viande, n’en mangeaient pas, ils tomberaient malades, mais si il y a nécessité pour certains, cette nécessité n’est pas universelle. Le groupe O est un mangeur de protéines animale, contrairement au groupe A, qui prend des risques à manger des viandes rouges, si certains praticiens considèrent cette étude scientifique comme une fable, sachez que vous êtes seul juge de votre santé et que rien ne vous empêche de tenter l’expérience du régime suivant votre groupe sanguin pour constater une amélioration de votre état ou pas, les médecins n’ont pas la science infuse, bien au contraire, mais ce n’est pas l’objet de cet article.

Si nous respections cette classification par groupes sanguins, nombre d’animaux seraient épargnés, d’une part, d’autre part, nombre de pathologies humaines seraient écartées, les hôpitaux désempliraient, la sécurité sociale serait bénéficiaire, et les humains vivraient mieux, en revanche, les laboratoires seraient perdants, car si vous n’êtes plus, ou moins malade, vous ne consommez plus de médicaments inutiles, ce qui, comme l’industrie de la pêche fragilise l’économie, et l’économie doit prévaloir sur la santé humaine.

Dans l’évangile, on retient cette phrase :

-   dis moi ce que tu penses, je te dirais qui tu es…

Ce n’est ici pas le contexte qui est important, c’est la logique de pensée chrétienne qui devient universelle et modulable :

-   dis moi ce tu manges, je te dirais qui tu es…

Cette phrase devient une vérité dans la classification d’Adamo, car l’alimentation fait de nous des gens forts ou faibles, bien ou mal portants. L’exemple d’une Ferrari dans laquelle on mettrait du diesel est applicable aux humains, car si un aliment convient parfaitement à certains groupes, il n’en va pas de même pour d’autre, si l’un peut manger des fraises, une autre est allergique, certains boivent du lait comme de l’eau d’autres sont malades, pire, sont allergiques au lactose contenu dans le lait de vache et les allergies se déclenchent suite à de nombreux facteurs, dont celui du corps à qui l’on donnerait tant d’aliments contraires, poussant le foie, et l’intestin à rejeter ce trop plein de nourritures incompatibles en développant soit des allergies pour mettre en garde le corps, soit en déclenchant des pathologies soudaines.

Si manger de l’homme comporte de nombreux risques sanitaires, les peuples cannibales ne mangeaient pas n’importe qui, ils mangeaient les plus forts, et les plus intelligents de leurs ennemis pour intégrer dans leur système, leurs qualités, on ne mange pas n’importe quoi, n’importe comment et cela s’applique à tout ce que nous mangeons.

Ainsi, les peuples primitifs avaient, et ont tendances tout autour du monde lors de la chasse, à remercier le gibier de son sacrifice, agissant ainsi, on obtient le pardon de la victime et sa viande n’est pas empoisonnée par des toxines.

La prière lors des repas permet de libérer des molécules positives, présentes dans l’alimentation pour aller dans le meilleur sens, pour aller même jusqu’à guérir. Un scientifique japonais, Masaru Emoto, a prouvé il y a quelques années que le fait de parler à l’eau modifiait sa structure moléculaire, l’eau enregistre non seulement nos paroles, mais les restituent en modifiant sa molécule. Des photos prisent au microscope montrent à quel point sa théorie n’en est pas une.

Si le fait de parler positivement à une bouteille d’eau modifie sa structure moléculaire, c’est qu’il y a inter action entre le monde visible et invisible, c’est quelque chose qui nous dépasse et qui prouve que nous ne sommes pas maîtres des éléments mais que nous appartenons à un tout, ensemble. Nous pouvons croire dompter les éléments, mais jamais les soumettre complètement. Il en va de même pour ces pauvres animaux que l’on assassine pour sustenter l’appétit des mangeurs de viandes.

Or, ce ne sont pas seulement les animaux qui sont maltraités lors de leur abattage, ce sont également ceux qui consomment cette viande, désormais pleine de toxines, de stress, de douleur, qui traversent la mort et qui viennent polluer le corps de ceux qui les mangent.

La maltraitance bovine dans les abattoirs a des conséquences directes sur la santé humaine, qu'on le veuille ou non, c'est une réalité.

Un mammifère tué dans un abattoir dégagera dans son organisme des poisons pour endormir sa douleur et sa terrible peine, ces poisons iront dans le corps de ceux qui les mangeront, c'est inévitable.

Nous devons accepter que nos frères mammifères aient une âme, une conscience, une pensée, même si elle nous échappe, cela ne veut pas dire qu’elle n’existe pas. La pensée chrétienne a déterminé très tôt que les animaux en étaient dénués, comme les indiens aux Amériques, on pouvait donc en faire ce que l’on en voulait, et ce que l’on veut.

Dénigrer l ‘animal, le rend inférieur aux humains, il est donc notre subalterne, notre esclave, à notre merci et devient notre repas à notre convenance. L’être humain civilisé a tendance à s’arranger avec sa conscience pour orienter dans son intérêt les moindres aberrations et contradictions chrétiennes, juives ou musulmanes. Il a été capable de créer les camps de concentration et d’extermination qui n’étaient rien d’autres que des abattoirs et malgré son élévation spirituelle, il continue, mais sur des animaux jugés comme inférieurs, comme les hébreux l’étaient par les nazis.

L’être humain a parcouru du chemin depuis l’antiquité, il a évolué, souvent régressé, aujourd’hui nous sommes à un pic de civilisation et nous nous acharnons à gaspiller la vie de ces êtres que nombres trouvent dans leur assiette. Est-ce nécessaire ? Est-ce essentiellement nécessaire ?

J’éprouve des doutes, car notre technologie et nos connaissances nous permettent de nous alimenter sagement, modestement, ce qui dans la pratique n’est pas le cas.

Observons le fonctionnement d’un « fast food » : De la commande à la consommation il y a le temps, le facteur temps indispensable à la consommation sans risque, car ne pas manger dans les minutes suivant la cuisson d’une viande sur le grill de restauration rapide, accentue le développement de bactéries dans les bacs chauffés, si bien que passé un certain laps de temps, la viande non acheté est jetée à la poubelle, donc, on a tué un animal, pour rien.

Voilà l’aberration du système « fast food », la notion de profit dans le gaspillage que l’on voudrait le moins possible mais qui est inévitable, et il ne s’agit pas d’un, mais de millions de restaurants rapides autour du monde.

Nous devons donc repenser notre façon de nous alimenter, comme nous l’avons repensé après la seconde guerre mondiale, adoptant le modèle américain pour en faire un modèle universel dans le monde ; combien de bœufs et de vaches ont été sacrifié sur l’autel du dieu argent pour alimenter le monde et le rendre malade à force de sucres, de sel, de viandes, de pains et de pickles ?

Qui peut nous garantir que cette nourriture est saine pour celui qui la consomme ?

Tout le monde connaît la réponse et pourtant chacun continue d’aller manger dans ces « fast food » par commodité, car le monde va vite, et les pauses sont si brèves entre midi et deux dans les villes que l’on a plus le temps, on ne prend plus le temps de s’alimenter. Nous avons des choix de sociétés, des choix alimentaires, et de santé que vous devons mener en les restructurant.

Car, si nous continuons à maltraiter notre bétail, qui maltraiterons nous par la suite ?

Nous vivons une époque formidable…


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