Près de dix mois après la fin du conflit, plusieurs villes et régions du pays sont toujours infestées d’obus, de munitions et de mines non explosés – collectivement désignés par le terme « restes explosifs de guerre ». Si une partie de ces engins ont été retirés, beaucoup d’autres doivent encore l’être si l’on veut que les endroits contaminés soient un jour de nouveau sûrs. (voir le diaporama)