Les modifications physiologiques et comportementales suite à une prise de drogue dépendent de la quantité ingérée et du mode d’administration… Les effets sur l’organisme d’une prise de drogue dépendent en premier lieu de la dose ingérée. Si l’on prend l’exemple de l’alcool, une faible dose entraîne des symptômes comme la perte des inhibitions et des tensions, une certaine euphorie voire des rougeurs. Ceci s’accompagne d’une tendance à la somnolence et de quelques étourdissements passagers. En augmentant la quantité bue, des difficultés d’élocution apparaissent, ainsi que des pertes d’équilibre et une démarche de plus en plus chancelante. La vision se trouble. Au-delà d’une certaine limite, à très forte dose, les conséquences sont plus graves, allant jusqu’au coma éthylique et la mort par dépression respiratoire. Ces effets différents selon la dose prise sont à mettre en lien avec l’action moléculaire de la drogue sur l’organisme. Cette dernière agit en se fixant sur diverses parties du corps – le cerveau en premier lieu, mais parfois d’autres organes comme le cœur – et en modifie le fonctionnement normal. Plus la quantité de drogue est importante dans le corps, plus le nombre d’organes touchés est important. Ainsi, à faible dose, la drogue se fixe sur des zones pour lesquelles elle a beaucoup d’affinité et plus on augmente la dose plus elle se fixe sur d’autres zones moins spécifiques…
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Les modifications physiologiques et comportementales suite à une prise de drogue dépendent de la quantité ingérée et du mode d’administration… Les effets sur l’organisme d’une prise de drogue dépendent en premier lieu de la dose ingérée. Si l’on prend l’exemple de l’alcool, une faible dose entraîne des symptômes comme la perte des inhibitions et des tensions, une certaine euphorie voire des rougeurs. Ceci s’accompagne d’une tendance à la somnolence et de quelques étourdissements passagers. En augmentant la quantité bue, des difficultés d’élocution apparaissent, ainsi que des pertes d’équilibre et une démarche de plus en plus chancelante. La vision se trouble. Au-delà d’une certaine limite, à très forte dose, les conséquences sont plus graves, allant jusqu’au coma éthylique et la mort par dépression respiratoire. Ces effets différents selon la dose prise sont à mettre en lien avec l’action moléculaire de la drogue sur l’organisme. Cette dernière agit en se fixant sur diverses parties du corps – le cerveau en premier lieu, mais parfois d’autres organes comme le cœur – et en modifie le fonctionnement normal. Plus la quantité de drogue est importante dans le corps, plus le nombre d’organes touchés est important. Ainsi, à faible dose, la drogue se fixe sur des zones pour lesquelles elle a beaucoup d’affinité et plus on augmente la dose plus elle se fixe sur d’autres zones moins spécifiques…