L’avare craint ses lendemains,il accumule ses biens,
Sa propriété est son bouclier,
Son assurance d’un bonheur temporel,
Somme de richesse qui souvent ne lui offre en son esprit,une précieuse allégresse,
Car là n’est point son urgence,
Protéger ses acquis par toute la force de sa volonté,
Est son ultime priorité,
Souvent l’avare ignore son amour,ou le néglige,
L’oublie en toute son inconscience,
En toute l’omniprésence de ses autres importances,
Un jour vient l’éveil des sentiments,
Que de regrets emplissent alors tout son être intérieur,
D’avoir négligé ainsi son essentiel,sa véritable richesse.