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68 - de l’inutilite du boson de higgs

Publié le 05 septembre 2012 par Jeanjacques

L’ARTICLE

Dans les années 1970, les physiciens constataient que deux des quatre forces fondamentales, la force faible et la force électromagnétique, sont de même nature. Cette avancée majeure pour la physique des particules a permis l'unification des deux forces dans la même théorie, qui constitue la base du modèle standard. Ainsi, l'électricité, le magnétisme, la lumière ainsi que certains types de radioactivité sont toutes des manifestations d’une seule et même force appelée, logiquement, force électrofaible. Cependant, pour que cette unification soit vérifiée mathématiquement, il faut partir du principe que les particules porteuses de force n’ont pas de masse. Or, nous savons que cela n’est pas le cas ; les physiciens Peter Higgs, Robert Brout et François Englert ont proposé une solution à cette énigme.

Leur théorie est que, juste après le Big Bang, aucune particule n’avait de masse. Lorsque l’Univers a refroidi et que la température est tombée en-dessous d’un seuil critique, un champ de force invisible appelé « champ de Higgs » s’est formé en même temps que le boson de Higgs, particule qui lui est associée. L’interaction avec ce champ répandu partout dans le cosmos permet aux particules d’acquérir une masse par l’intermédiaire du boson de Higgs. Plus les particules interagissent avec le champ de Higgs, plus elles deviennent lourdes. Au contraire, les particules qui n’interagissent pas avec ce champ ne possèdent aucune masse.

On explique cette différence par le fait que le photon médiateur de l'interaction électromagnétique, n'interagit pas avec le champ de Higgs, ce qui n'est pas le cas des bosons intermédiaires W+, W- et Z, médiateurs de l’interaction faible. Or, le photon n'a pas de masse, et les trois autres bosons sont lourds (environ 90 GeV). On pense donc que l'interaction avec le champ de Higgs serait responsable de l'apparition de la masse inertielle, valeur scalaire qui mesure la résistance des particules à l'accélération, et affecterait en réalité toutes les particules élémentaires.

Depuis longtemps, des physiciens s'interrogent sur l'origine de l’inertie de la matière, qui mesure la force qu'il faut appliquer à un objet pour lui imprimer une accélération donnée. Le champ de Higgs, intervenant par le biais du mécanisme de Higgs, fournirait un élément de réponse important en ce sens, si cette explication était confirmée par des expériences réalisées à partir de 2009 au LHC: en mouvement accéléré, c'est le champ de Higgs qui freine les quarks qui composent les objets que nous soulevons, tirons et lançons : La masse inertielle d'une particule résulte donc de son degré d'interaction avec le champ de Higgs.

Ainsi, une particule sans interaction avec le champ de Higgs, comme le photon aurait automatiquement une masse nulle. Inversement, plus cette interaction serait importante, plus la particule serait « lourde ».

COMMENTAIRES

Il importe de remettre sur pied cette problématique fondamentale décrite dans un jargon dont la physique théorique est seule a en posséder le secret. La double question liée est de savoir comment s’effectue la transmission des forces à distance entre particules et comment une particule peut acquérir une masse.

1) La transmission à distance des forces se ferait par l’intermédiaire de particules d’échange photons et bosons) dont l’émergence serait justement consécutive au mouvement de la particule - car il faut bien qu’un phénomène physique actif produise quelque chose comme une énergie et donc un mouvement, lequel va être transmis. En conséquence il faut qu’existe une particule et un champ réactif externe dont la fonction va être de produire le boson d’échange qui ne saurait être issu de la particule elle-même. Ceci implique de remplir le vide d’une substance possédant la propriété d’engendrer des bosons d’échange et de transmettre subséquemment le mouvement à distance

2) Ces bosons n’ont pas de masse puisqu’ils circulent à C à la différence des particules sujettes à l’inertie de la matière. Comment s’effectue alors la « transmission » de la masse, le passage de l’état bosonique à l’état massif ? Pour être en cohérence avec la théorie des interactions, il FAUT que cela se fasse par l’intermédiaire d’une particule d’échange, d’où l’invention du boson de Higgs lors de l’interaction avec le CHAMP de Higgs. Ce dernier champ est alors de MEME NATURE que celui permettant les échanges de forces forte, faible et électromagnétique. Pour que l'unification du modèle standard se fasse, il est capital que le mécanisme des échanges soit identique.

Or, quelle est la propriété de ce champ de Higgs : « en mouvement accéléré, c'est le champ de Higgs qui freine les quarks qui composent les objets que nous soulevons, tirons et lançons : La masse inertielle d'une particule résulte donc de son degré d'interaction avec le champ de Higgs. » En d’autres termes ce champ a un effet de freinage sur la particule, il s’oppose ainsi à son mouvement. Ceci est en totale contradiction avec la relativité pour laquelle la masse en soi dans un espace totalement vide d’effet n’est que relative à une autre masse, le freinage résultant de l’augmentation relative, proportionnelle à sa vitesse. Ainsi pour justifier la CREATION, l’apparition de la masse, le modèle standard n’hésite pas à mettre en défaut la rélativité.

3) Mais quelle est l’origine de ce grand cafouillage théorique ? C’est que toute la physique après Einstein n’a cessé d’attribuer au vide des fonctions et une réalité physique après que celui-ci ait fondé la relativité sur la suppression de tout effet en provenance de l’espace en tant que tel. Car, que cela soit pour justifier la transmission des forces à distance et la création de bosons d’échange ou pour expliquer comment une particule est freinée dans son mouvement, il faut inventer un AUTRE objet physique qui emplit l’espace, tout l’espace, et qui est susceptible d’actions et de réactions. Or JAMAIS la physique actuelle ne donnera un nom, une réalité véritable à cette substance différente et encore moins ses propriétés, se contentant des termes vagues de champ quantique ou de champ de Higgs.

4) Ainsi, c’est parce que l’espace CONTIENT une substance particulière (à laquelle nous avons attribué le nom de prématière) que celle-ci peut se mettre en mouvement sous forme d’ondes et engendrer des photons ou des bosons d’échange. C’est parce que cette prématière possède une RESISTANCE au mouvement que la brisure consécutive d’un simple photon donne naissance à une paire de particules de matière lesquelles, ENSUITE, sont freinés par cette prématière lorsqu’on les met en mouvement.

Dès lors, la recherche de ce fameux boson de Higgs est strictement inutile. La masse des particules ne s’acquière en aucune façon par le mécanisme imaginaire du modèle standard : c’est beaucoup plus simple et ne nécessite aucune particule particulière, mais l’existence d’un champ permanent de prématière dont nous avons longuement décrit ici les propriétés. (À noter cette incongruité que si ce Higgs devait donner la masse aux particules qui se créent constamment en nombre considérable, il devrait être partout présent et donc facilement détectable)


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