Il faut dire que les riches sont une cible facile pour les politiciens. Ceux qui touchent des revenus supérieurs à 100 000 $ forment 4,1 % des contribuables. Ceux dont les revenus excèdent 250 000 $ représentent à peine 0,6 % des contribuables. Le poids électoral des nantis étant minime, perdre leur vote est sans conséquence réelle. Les prendre à partie est somme toute un signe de lâcheté politique.