Chaque année, près d'une femme sur trois a un rapport sexuel à risque de grossesse, mais seule une femme concernée sur 5 aura recours à la contraception d'urgence. En cause, avec cette étude réalisée par l'Institut BVA pour le laboratoire HRA Pharma, le manque d'information sur la contraception d'urgence, menant à sa méconnaissance et à sa sous-utilisation.
Ces résultats obtenus sur un échantillon de 2.415 femmes et confortés auprès de 400 leaders d'opinion (politiques, chefs d'entreprise, journalistes et blogueurs) interviennent à quelques jours de la 7ème Journée mondiale de la contraception du 26 septembre.
Un déficit d'information : 93% des femmes et la grande majorité des leaders d'opinion appellent donc à davantage d'informations sur la contraception d'urgence. Alors que seules 20% des femmes exposées à un risque de grossesse non souhaitée y auront recours, c'est souvent avec un sentiment de culpabilité et en grande majorité (86%) directement chez leur pharmacien. Une sous-utilisation qui révèle, selon l'étude, une absence de perception réelle du risque de grossesse, des freins psychologiques liés à un sentiment de culpabilité ou de honte et des idées reçues en particulier sur un possible risque de stérilité.
Source : Communiqué HRA Pharma
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