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À ma première année de retraite, je me rasais la barbe tous les jours. La deuxième année, cet exercice matinal agaçant ne venait qu’aux deux jours.
Actuellement, je rase cette barbe vaillante qui pousse sans arrêt tous les trois jours.
Ces phrases rasantes ne servent qu’à faire un constat; plus le temps avance, moins je me rase.
Plutôt rasant, ce billet rasé d’un raseur!
Je ne voulais surtout pas barbifier votre journée!
Lo x