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Stage Wars

Publié le 27 septembre 2012 par Zimbie @Zimbiee

Premier stage – première guerre

Nice Machin, Juin 2009, je débarque à la rédac super naïve en mode “Coucou c’est moi la petite nouvelle“, sauf qu’à l’accueil personne ne m’attend et n’est même au courant de ma venue. On me dit d’aller m’asseoir gentiment avec les autres stagiaires arrivés avant moi. Par autres stagiaires, je veux parler des deux poupées Barbie blondes et du sosie de Justin Bieber l’air menaçant. Que la fête commence ! J’ai alors compris le sens exact du mot compétition et c’est peu dire… quand le rédac chef est gay et que par conséquent les meilleurs sujets reviennent à Justin. Bref j’ai dû apprendre à travailler avec les poupées ou du moins faire tout le boulot pendant qu’elles passaient des heures à se faire les ongles…

Stage Wars

Etre en stage, c’est un peu comme être de retour sur les bancs de l’école.

Deuxième stage – deuxième guerre

Septembre 2010, radio d’un célèbre prince, 5h du mat’ dans un building vide, c’est la guerre pour savoir qui fait le meilleur café et aura par conséquent le droit de présenter la météo. Je peux vous assurer que Georges est devenu mon meilleur pote en quelques jours et que les Voluto et Ristretto n’ont plus de secret pour moi.

Troisième stage… troisième guerre

Janvier 2011, compétition encore et toujours. Si je n’ai pas un tempérament de compétitrice, mes différents stages m’ont pousser à devenir une tigresse. Installées et acceptées au sein de la rédac depuis deux mois avec une copine stagiaire (oui parce qu’il y a aussi de gentils stagiaires tout de même), voilà qu’un nouveau prétendant à la plume bien avertie débarque au journal. Panique à bord, l’individu en apparence doux comme un agneau se révèle être un requin hors pair, prêt à tout pour décrocher les meilleurs articles. C’est à partir de ce jour là, que j’ai commencé à surveiller mes arrières et donner de fausses pistes aux concurrents.

Quatrième stage – Unique stagiaire – pas de guerre

Septembre 2011, calme plat dans la cité phocéenne, normal je suis la seule stagiaire et le précèdent n’a pas fait l’unanimité.

Dix-huitième stage  plus tard – en guerre contre la société qui abuse du statut de stagiaire

NB : je tiens à préciser que j’ai été obligée d’auto-censurer certains passages trop violents pouvant heurter la sensibilité des plus fragiles.



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