Le gouvernement Marois est allé si vite qu'on a l'impression qu'il a cédé à la tentation d'agir d'abord, et de réfléchir ensuite.
Avec pour résultat que plusieurs décisions-choc des derniers jours - le regel des droits de scolarité, le moratoire sur le gaz de schiste, la fermeture de la centrale Gentilly-2 - sont mal ficelées. Une logique de l'à-peu-près qui atteint des sommets avec l'idée d'une hausse d'impôt rétroactive.--- Alain Dubuc