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Critiques Séries : Puberty Blues. Saison 1. Episode 7.

Publié le 04 octobre 2012 par Delromainzika @cabreakingnews

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Puberty Blues // Saison 1. Episode 7. Seven.


Avant dernier épisode de la première saison de Puberty Blues et je n'ai pas déjà envie de quitter la série. C'était une vraie bouffée de fraicheur, et cela vient pourtant d'Australie. Chaque semaine je le répète mais c'est vrai, je suis tout bonnement surpris par la qualité de cette série. Même si je n'ai pas trouvé ce que j'avais adoré dans le 1.05 (qui reste pour moi le meilleur épisode de la saison pour le moment), j'ai bien aimé cet avant dernier épisode. D'une part parce qu'il nous plonge réellement dans l'époque. Quand on nous parle du fait que les filles veulent aller voir le nouveau film à la mode qui s'appelle Star Wars par exemple. C'est assez amusant car je crois que pour ma génération on a vécu un peu la même chose avec la sortie du Chapitre I (même si au fond, trois chapitres étaient déjà sortis). Bref, j'ai aussi bien apprécié tout ce qui se goupille dans l'épisode comme le fait que les filles ne sont pas éternelles pour les surfeurs et qu'elles peuvent rapidement être remplacées quand elle ne se plient pas aux règles. J'ai trouvé assez choquante la scène où l'un se retrouve à éjecter la jeune fille en la prenant pour son esclave finalement.
Ce n'était pas forcément assez bien amené dirons nous mais assez réaliste pour l'univers dans lequel nous sommes. A la fin de l'épisode précédent, il y avait eu un mort ce qui a permis de secouer les esprits des parents. C'est là que Debbie se retrouve consignée chez elle par sa mère Judy parce qu'elle a peur de la perdre elle aussi. Mais j'ai aussi bien ri dans l'épisode outre le côté émotionnel de ce choc vécu dans l'épisode précédent. En effet, la relation entre Debbie et son frère David reste toujours aussi amusante. D'une part parce que David n'aime pas vraiment sa soeur et fait tout pour lui mettre des battons dans les rôles, mais d'autre part parce que les scénaristes ont trouvés le moyen de rendre leur relation encore plus amusante quand ils font tous les deux les fourbes (David se retrouvant à couvrir sa soeur, et en échange elle le laisse elle aussi tranquille). Le moment le plus drôle c'est surement celui où Sue montre sa poitrine à David en échange qu'il ne dise rien à papa et maman sur le fait que Debbie a fait le mur.

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Même si le sexe n'est pas l'élément le plus important de l'épisode, il reste un sujet abordé de façon subsidiaire. Je dois avouer que le préfère quand la série nous propose des choses de cette façon là. Finalement, les scénaristes ont fait quelque chose de bien avec Puberty Blues. Ils ont traités les relations entre les personnages dans la série avec beaucoup de simplicité et d'intérêt. Je crois même que l'on peut dire qu'il s'agit d'une des meilleures séries que j'ai pu voir cette année dans ce domaine là. Il y a une certaine ambition derrière cette simplicité et ce ton particulièrement fin et agréable. J'ai envie de voir la suite de Puberty Blues, donc j'espère qu'il y aura une seconde saison. Il ne reste maintenant q'un seul épisode. C'est dommage qu'il n'y ait pas plus d'épisodes mais d'un autre côté cela permet aussi de se concentrer sur quelque chose de bien plus digeste que beaucoup de séries de ce genre là (et accessoirement de la plupart des séries australiennes).
Note : 7/10. En bref, un épisode juste, touchant et drôle à la fois.


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