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My Duct Tape

Publié le 07 octobre 2012 par Saintleger

My Duct Tape

J’ai attendu ce week end du 28 octobre avec impatience. Car les tentations étaient nombreuses et variées entre le Pays basque et les Landes Sud. Avec à la clef des esprits bien différents. Short ou long, il fallait bien choisir, mes dons d’ubiquité étant, en ce moment, un tantinet limités. Question d’esprit. Et voilà ce qui m’a sans doute fait trancher sans trop d’hésitation pour l’option Long, bien plus en phase, et tu le comprends certainement Ô lecteur de ce blog, avec ma perception du surf (non que j’ai quoi que ce soit contre les « shorteux », mais les compets de l’ASP c’est un peu comme les course de F1 : tu vois passer les trucs en quelques secondes, de façon certe impressionnante, et puis à la fin c’est toujours le même qui gagne). Bref, j’ai tracé directement pour Biarritz où les sirènes du Joel Tudor Duct Tape Invitational chantaient bien mieux à mes oreilles.

Tout a commencé le vendredi après midi à Biscarrosse où, après un départ un peu tardif de Bordeaux, je me suis dit qu’un stop était obligatoire sur le spot  sous peine de passer à côté des belles conditions du moment. Et ma foi je n’ai pas eu tord puisque les bancs de sables du coins m’ont rarement offert des conditions aussi parfaites, quasi balinaises  Après un break réparateur dans le coeur des Landes, direction Biarritz à 5h du mat’ afin d’être certain de trouver une gache sur le parking de la Côte des Basques, opération délicate si il en est et chanceuse pour le coup. Le moins fun : un temps pourri et des conditions bien moins agréables que la veille. Finalement cette pause forcée aura été bénéfique puisqu’elle m’aura donné l’occasion de retrouver Frank (dans un Surfing nouvelle version plutôt agréable), qui aura été un guide fantastique lors de ces 48 heures et vecteur de belles rencontres (JJ Wessels, Andy Nieblas, James Parry, Donnicka Elbertse…) qui m’auront plongé dans un mood totalement californien.

Car il faut bien avouer que la troupe qui a oeuvré durant ce Duct Tape avait quelques relents de je ne sais quoi de surf spirit beatnik soixanthuitard. Une vie débraillée, alcoolisée (que de bouteilles de pinard !) ou plus, et tout en douceur… affichée du moins. Donc des gens très accessibles, souriants, sympathiques et rêveurs. Il ne m’en fallait pas plus…

Et pourtant j’ai eu plus, puisque j’ai enfin pu rencontrer IRL quelques amis facebookiens, dont Jean François, le king de la culture 60′s avec qui je partage pas mal de choses… :-)

Last but not least, côté matos j’ai eu l’occasion de découvrir quelques perles comme par exemple cette magnifique Gato Heroi qui sied derrière un Alex Knost attentif sur la photo d’ouverture. Ami lecteur, si tu regardes attentivement tu découvriras une board d’un shape fulgurant de beauté, taillée dans un pain dont la latte centrale est tout juste incroyable (regarde bien !). Et puis un petit tour chez Wallako m’aura permis de mesurer la grande classe des boards Kookboxx, que nombre de surfeurs de la compet avaient la chance de rider… et de casser pour certains ! Un de ces jours il faudra que je pose les pieds la dessus moi.

That’s all folks.

Ci dessous une nouvelle édition « Director’s cut » de mon clip du week end dernier avec quelques plans supplémentaires. Enjoy.

My Duct Tape

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Et le reste des shoots du week end ici.

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