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Question cul sur internet… Les mauvaises habitudes à ne pas prendre...

Publié le 09 octobre 2012 par Philippejandrok

En faisant des recherches sur internet, il m’arrive, comme tout un chacun, d’être automatiquement redirigé sur un site porno non sollicité, on fait une demande précise et une page apparaît, des dizaines d’adresses, et puis des sites Olé-Olé se glissent entre les lignes nous sautant au visage avec provocation et l’on se dit à cet instant :

         - Tiens, c’est une occasion, pourquoi pas, il n’y a pas de mal…

Venant d’une génération ou dévoiler un sein, montrer des croupes féminines nues était encore tabou, internet nous offre au contraire, des possibilités illimitées en matière de sexe et de pornographie auquel on ne s’attendait pas, il paraît donc naturel de se laisser aller à découvrir, à gouter ce fruit si longtemps défendu, car si personne n’accepte d’avouer surfer sur des sites pornos, leur succès nous prouve à quel point ils sont populaires et facile d'accès.

Donc, une adresse, puis une autre, puis encore une autre se succèdent, et c’est à cet instant que l’on tombe dans le piège, on clique naïvement sur une page, qui nous demande si l’on est majeur, la réponse est oui, et d’autres pages s’ouvrent comme mille tables gigognes, mise en abyme à l’infini, des corps de femmes, dans des positions lascives, suggestives et pour y entrer, parfois, on réclame au voyeur impénitent une carte de crédit comme preuve de majorité, elle ne sera pas débitée, nous assure-t-on, mais comme la plupart de ces sites sont domiciliés à l’étranger, dans des pays où l’on a aucun moyen de pression, si la carte est débitée comme ont été fourni, numéros, codes et identité on n’a pas vraiment de recours contre ce type de prélèvement illégaux s’ils se produisent, et ces webmasters le savent bien, imaginez un instant, vous allez voir votre banquier alors que vous êtes connu comme un honorable citoyen, pour demander l’interruption de prélèvement d’un site porno sur votre compte, mais de quoi auriez-vous l’air ?

-       - Alors ça, lui, un pornocrate, oh le gros cochon… elle, hum ! c’est qu’elle doit être une sacrée S… dans l’intimité…

 Souvent, le client lésé préfère se taire, mais jusqu’à quand ?

Sur certains sites, le surfer pornocrate ou simplement curieux a la possibilité de visionner des tas de vidéos gratuitement sans même fournir de preuve de majorité et on s’interroge :

-       - Mais si je peux surfer et visionner ces contenus pornographiques, qu’est-ce qui empêche les enfants d’en faire autant ?

Et bien rien ne les en empêche, ils peuvent, comme les grands, surfer, visionner et se « pignoler » pendant des heures en regardant ce que les adultes consentant font et se font subir sexuellement. Ce qui est plus grave, c’est le regard, c’est la « philosophie » véhiculée par ces clips vidéo auprès des jeunes générations.

La femme est systématiquement au service de l’homme qui lui fait ce qu’il veut, comme il l’entend, il perfore tous ses orifices de son chibre pointé et elle doit, elle a le devoir d’aimer ce qu’il lui impose, et d’en jouir avec une égale bonne humeur mais est-ce seulement la réalité ?

Ce qui le devient, c’est le regard, c’est la façon de voir et de faire, allez, passons sur le missionnaire, l’amuse bouche, pour aller dans le vif du sujet, la Sodomie !

- Oh, c’est qu’il y va fort aujourd’hui, me direz-vous, oui c’est vrai, mais c’est important.

Lorsque des personnes jeunes et inexpérimentées voient ces images, ces couples en action, ils ne souhaitent qu’une chose, reproduire ce que font leurs aînés, ne dit-on pas :

- «  monkey do what Monkey see? » (le singe fait ce que le singe voit)

Les personnes inexpérimentées pensent donc que la sodomie se pratique simplement, sans préparation :

- Allez, on y va, on enfonce son truc dans le petit orifice et c’est bon comme ça, elle va aimer et moi aussi... ?

Stop !

Pensent-ils aux règles d’hygiène élémentaires ?

Hygiène ?

Qu’est-ce que c’est que cette grossièreté ?

Savent-il au moins que les actrices pornographiques sont d’une propreté irréprochable et pour cause, les maladies sexuellement transmissibles décimeraient la profession si ce n’était pas le cas.

Savent-ils, nos joyeux testeurs que les actrices passent des heures à pratiquer des lavements pour les scènes de sodomie ?

Que les habituées de cette pratique en font autant à la maison, dans leur intimité, en sachant par avance que leur partenaire réclame cette pénétration anale, par plaisir ou par vice, et que certaines femmes en sont également très friandes.

Mais l’hygiène est indispensable pour passer d’un orifice à l’autre sans contaminer la flore vaginale avec des sécrétions bactériennes issues du colon, et oui, nous avons là deux univers et deux types de bactéries différentes qui ne sont justement pas faites pour se rencontrer, jamais, au risque de développer des pathologies graves.

Mais nos jeunes pratiquants et des adultes d’ailleurs, ignorent, et se demandent pourquoi ils sont atteints de maladies honteuses après s’être amusé à sodomiser, puis à fourrer leur chibre dans le vagin d’une partenaire ou d’une autre, d’autant que toutes les femmes n’apprécient pas cette pratique pour des raisons diverses.

Alors oui, il est important d’informer les clients de la Sodomie, sur les risques, mais il ne s’agit pas ici d’interdiction, bien au contraire, mais de préparation, car en amour tout est permis si c’est désiré et consenti, en revanche, j’encourage nos jeunes passionnés à bien observer le visage d’une femme sodomisée dans un clip pornographique, celle-ci, souvent ne peut réprimer une certaine douleur, il y a donc des règles à respecter pour que cela devienne un plaisir plus qu’une souffrance, mais cela se prépare à deux, lorsque l’homme et la femme sont prêts.

Nous vivons une époque formidiable…


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