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Volkswagen Eos 2013 : plus que du bonbon

Publié le 09 octobre 2012 par Critiqueauto

Volkswagen Eos 2013 : plus que du bonbon

Dans le segment des voitures décapotables que meublent allègrement les Chrysler 200, Mazda MX-5, Audi TT, BMW 135, Volvo C70, Ford Mustang et Chevrolet Camaro, pour ne nommer que celles-là, la Volkswagen Eos 2013 reste probablement la plus intéressante. En termes de design, même s’il est un peu moins extravagant que certains, ce cabriolet à toit rigide fait l’unanimité. Et l’habitacle, où l’on retrouve des matériaux d’excellente qualité, est des plus conviviaux.

Mécanique

La Volkswagen Eos 2013 est proposée en deux versions, soit la Comfortline et la Highline. Dans les deux cas, le constructeur n’offre qu’une seule mécanique, mais pas n’importe laquelle. En effet, le moteur qu’on retrouve sous le capot de ce cabriolet est le 4-cylindres en ligne turbocompressé à double arbre à cames en tête de 2 litres qui développe une puissance de 200 chevaux et produit un couple de 207 livres-pieds dès 1 700 tours par minute.

Pour transmettre aux roues avant la puissance de cette petite merveille de mécanique, Volkswagen n’utilise une boîte automatique DSG à 6 rapports. Cette boîte de vitesses vous fera sans doute oublier la manuelle à 6 rapports que le fabricant a laissé tomber l’an dernier. Elle fonctionne en douceur et passe les rapports très rapidement.

Dans le segment, la Volks Eos est l’une des plus légères à 1 595 kilos, ce qui se traduit inévitablement par une meilleure tenue de route. La suspension est ferme, et l’expérience de conduite est des plus rassurantes. Même si, dans les faits, ce n’est pas une voiture sport, on peut affirmer qu’elle s’en rapproche drôlement.

Habitacle et carrosserie

Quand on regarde l’Eos, rien ne détonne. Il s’agit d’un cabriolet très bien proportionné. Et, contrairement à certains autres cabriolets, les lignes restent élégantes même quand le toit est relevé. À l’intérieur, quand on la compare aux autres produits de la marque comme les Jetta et Passat, on se retrouve dans un monde très différent avec des matériaux d’excellente qualité. On est littéralement dans une classe à part.

En termes de confort, même les gros gabarits y trouveront leur compte, du moins à l’avant. L’Eos compte quatre places, c’est vrai, mais les places arrière sont plutôt conçues pour de courtes distances. Pour ce qui est de l’espace de chargement, il ne faut pas oublier que le toit vient l’amputer passablement; il n’est donc pas très généreux. Le mécanisme de rétractation du toit met 25 secondes à découvrir la Volkswagen Eos.

L’Eos est une voiture qui profite d’une longue liste d’équipements de série. Mentionnons la climatisation, l’antivol, le régulateur de vitesse, le compte-tours, le verrouillage automatique des portes à 13 km/h, la chaîne audio RCD 310 avec lecteur de CD et 8 haut-parleurs, le système de surveillance de la pression des pneus, la connectivité Bluetooth, la garantie de 4 ans ou 80 000 kilomètres et bien d’autres.

Conclusion

Il est bien certain que, à 30 075 $, la Volkswagen Eos Comfortline de base n’est pas donnée. Cependant, il s’agit probablement de l’un des plus beaux cabriolets qu’on peut trouver sur le marché dans cette gamme de prix. Et c’est beaucoup plus que du bonbon.


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