Modestes,
Combien nous devons l’être,
Heureux ainsi de considérer notre amour,notre unique maître,
Humbles et sincères héritiers de notre divine destinée,
En cette modestie seule,où notre réel s’affirme,
L’évidence emplit notre conscience,
Retrouve l’inné de sa mémoire,
Point d’égo démesuré chez le sage vivant toute l’allégresse de son éternité.