" Je ne voulais pas aller en D-League. J'ai eu quelques entretiens mais ça n'a pas abouti."
Pour tenter de séduire une franchise Ewing dresse son portrait de coach au New York Post :
" Je peux m’identifier à pas mal de monde et comprendre ce qu'ils traversent. Je suis un leader qui peut créer un esprit de groupe. Je peux transmettre ce que je sais du jeu. Même si j'étais pivot je peux apprendre le basket à un meneur. "
Malheureusement pour lui les Bobcats ou le Magic, à la recherche d'un coach cet été ont trouvé preneur :
" Pour l'instant tous les postes sont pris. Alors je me détends, je prend soin de moi et je verrais l'an prochain les opportunités que j'aurais."
Avec un peu de chance, Ewing pourrait trouver un poste de head coach assez rapidement. On le sait à cette place là le malheur des uns fait le bonheur des autres.