Maintenant que je vous ai allumés quelques jours derrière nous, je ne pouvais pas vous laisser comme ça. Dans l’expectative, dans la douleur et la frustration. Alors je reviens à vous avec quelques mots dont plus que de coutume sauront apprécier la tendresse et la apternelle bienveillance. Oui, Mechwarrior online est toujours annoncé, il s’agit toujours de Mechs, c’est toujours online et c’est toujours en mode free-to-play. Vous voilà rassurés. A titre d’information, la bêta est ouverte depuis hier aux Etats-pas-tout-à-fait-Unis. Ça vous fait une belle cuisse ? Tant pis, j’encaisse votre mépris et je vais enfoncer le clou. Exactement.
Le programme de précommande a dépassé tous les espoirs que Infinite Game Publishing, l’éditeur de la chose, s’était permis. Piranha Games, le développeur, de son côté, est fier d’avoir ravivé le feu sacré. On parle de 5 millions. Et pas des drachmes !! En tout cas pas que … Non monsieur, 5 millions de fucking dollars. Ce qui, outre donner de l’air, et rassurer quant à l’avenir de ces gens, que bientôt on aimera sans retenue, permet de faire quelques plans sur de tout à coup moins lointaines comètes. Et d’embaucher. Em-bau-cher !! C’était peut-être ça le remède à la crise. D’une simplicité biblique. Je vois d’ici le tableau, à la machine à café, autour d’un mocca sans sucre : « Hé, les gars ! Si on faisait un Mechwarrior ? Online ? Gratos ? Pour sauver le monde de la crise ? Enfin … moi je dis ça, je dis rien ». Kelly Zmak, président d’Infinite Game Publishing, y va de son petit mot : « […] le programme de levée de fonds pour Mechwarrior Online montre bien comme sont passionnés les fans de la franchise ». Et d’achever ce flot de bonne nouvelle (au singulier donc), on nous annonce deux autres Free-to-Play : Mechwarrior Tactics et Sin of a Dark Age. La belle vie quoi.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble