Un jour qu’Abba Isaac était assis chez l’Abba Poémen, on entendit le cri d’un coq. Il lui dit :
» Il y a donc cela ici, Abba ? « .
Le vieillard lui dit :
» Isaac, pourquoi me forcer à parler ? Toi et tes semblables, vous entendez cela. Mais celui qui est vigilant n’en a nul souci « .
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