La manipulation médiatique des voleurs de mort est décidément bien réglée. 10 jours après la mort de Chantal Sébire, une autre personne malade ("incurable", évidemment...), sollicite une euthanasie. La nouvelle victime de l'ADMD est une personne qui ne semble pas souffrir mais dont la paralysie se propage peu à peu. Elle a déjà pris contact avec l'avocat de Chantal Sébire, Me Gilles Antonowicz, lequel est vice-président de l'ADMD, le club de voleurs de mort, médicalement incompétent.
L'ADMD rage du retard de la France, comparée à la Belgique, où l'on propose l'euthanasie des fous et des mineurs, ou à la Suisse, où l'on tue les vieux avec des sacs plastiques. Vraiment, quel manque de "charité" à l'égard des "malades jugés incurables à vue humaine", comme dirait Hitler.
Michel Janva (via e-deo)