
La plus drôle quand il parle de l'appel des grands patrons : "Les 98 qui sont là sont 98 bons à rien parce que...". J'arrête là au parce que, chacun ira lire la suite de l'intervention de l'affligeant Fidel Castro de l’Essonne. Et puis parce qu'on est tous le "bon à rien" de quelqu'un. Y compris Jean-Luc Mélenchon... Et que ce n'est pas la peine de continuer à rabaisser un déjà bien triste débat en se vautrant dans l'insulte. Mais demander ça au chef du Front de gauche...
J'ai été amusé aussi quand il a parlé de ses plus trop amis du Parti Socialiste. "Le Parti de Gauche n'a pas été invité à Toulouse par le PS : c'est une marque de sectarisme". Jean-Luc Mélenchon qui parle de sectarisme : ça serait à mourir de rire si ce n'était pas navrant. Jean-Luc Mélenchon qui se plaint de ne pas avoir été invité par un parti sur qui il crache avec classe à la gueule depuis le début du mandat, c'est aussi particulièrement amusant.
Au concours consternant du "C'est celui qui dit qui est", Jean-Luc Mélenchon creuse l'écart...