Magazine Médias

The (un)Amazing Spider-man

Publié le 10 novembre 2012 par Bigreblog

Rebonjour la blogo!

Alors, hier soir, et bien sûr, comme d’habitude j’ai envie de dire, Frérot m’a embarquée dans un visionnage plus que bête et WTF de The Amazing Spider-man, le reboot totalement inutile de la saga de Sam Raimi.

Si on fait abstraction, néanmoins, c’est un bon film…pour ados.

The Amazing se base donc sur un Peter Parker tout droit sorti des miches de son papa, un pauvre geekounet que même les filles l’aiment pas. Et puis paf, du jour au lendemain, il devient intelligent, se tape la fille la plus canon de son école et devient une araignée. Ouais. Passons.

Ce qui m’a le plus déplu, c’est le manque de transitions. Enfin, je sais pas vraiment comment appeler le fait que d’une seconde à l’autre, Peter achète les parties de son costume sur Internet et puis la seconde suivante il est sur un toit en collants. Au moins, dans Batman Begins, on voit comment Bruce s’y prend pour avoir un costume ultra cool. Mais, évidemment, ne comparons pas Marc Lévy avec Shakespeare. :p

Andrew Garfield, en somme, est un bon ptit geek en soi. Son Peter n’est pas mal interprété, plutôt agréable, même si en pleine crise d’adolescence quand même.

The (un)Amazing Spider-man

Emma Stone est juste canon. Un peu dommage que son personnage soit si peu exploité.

The (un)Amazing Spider-man

Mais bon, comme partout, il me faut un appât majeur. Appât de Spidey: Rhys Ifans. D’aucuns le reconnaitront comme étant le Papounet de Luna Lovegood, moi, personnellement, je m’en souviens surtout en Gavin Kavanagh, le bogoss névrosé de The boat that rocked. Ce gars est dingue et pourrait jouer une mouette.

The (un)Amazing Spider-man

Bref, Rhys est ici l’atout du film. Un méchant qui, comme souvent ces dernières années, n’en est pas vraiment un. Curtis, ici, est un homme à qui on met des ultimatums. Comme n’importe quel laborantin à qui on fout des ultimatums, il teste ses produits sur lui-même, et ça foire. Il attrape une voix dans sa tête comme feu Norman Osborn (Willem Dafoe, god bless you), et se transforme en lézard vilain et pas beau. Sauf qu’à la fin, il sauve Peter. Parce que mine de rien, c’est un bon gars Curtis.

The (un)Amazing Spider-man

Bref, ce film était inutile rien que dans sa conception. Tant qu’à vouloir reprendre la saga Spidey, faites une suite avec un acteur plus âgé que Tobey Maguire. Mais pas un reboot qui sert à rien. Mais qui se laisse regarder, je l’avoue.

Et puis, vive les Gallois quoi.

:)

Note: 5,5/10 (scénario: 5/10 - jeu: 7/10BO: 8/10reboot: 2/10)

The (un)Amazing Spider-man

Autre inadéquation: Peter ne sait bizarrement plus produire de fils tout seul, donc il se branche des bobines signées Oscorp. Nawak.



Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Bigreblog 1726 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte