Comme ça, les antifas, vous savez à présent où les trouver…
Tant qu’ils se tapent entre eux, ce n’est pas sur leurs boucs émissaires favoris, n’est-ce pas ?! Pour une fois que ce ne sont pas les arabes qu’ils désignent comme les premiers facteurs de troubles à l’ordre public qui sont responsables dans le cas présent d’un acte de violence gratuit. J’apprends en effet avec délectation que le responsable de l’une des nombreuses tentacules du Bloc identitaire, le mouvement groupusculaire Nissa Rebella, vient de faire l’objet d’une convocation au Tribunal de Police de Nice pour répondre de l’accusation de violence contre un responsable du FNJ dans le cadre d’une opération de tractage de ce dernier, un « jeune » homme de 26 ans, pendant la campagne des cantonales de 2011. Quand on sait que ledit responsable de Nissa Rebella était l’un des soutiens de Marine Le Pen pendant la campagne présidentielle, et que Le Bloc identitaire dont il est l’un des vaillants cadres (en voie de marginalisation… ceci expliquant cela ?) vise à représenter le trait d’union d’une “droite identitaire, qui irait de la Droite populaire au FN”, on se dit que tous ces nervis réacs d’extrême droite trans partis ont encore du pain sur la planche pour éliminer la délinquance ailleurs que dans les cités : dans leurs propres rangs. Car les affaires de justice commencent à se succèder à un rythme inquiétant. Pour eux. Pour nous, ce n’est qu’une banale entreprise de salubrité publique. Au(x) suivant(s) !
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