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Jeudi 16 novembre au théâtre des Bergeries (Noisy-le-Sec)

Publié le 15 novembre 2012 par Maurice Puault

 

Voici 5 bonnes raisons d'aller au théâtre des Bergeries à Noisy-le-Sec

Jeudi 16 novembre au théâtre des Bergeries (Noisy-le-Sec)

- Jeudi 16 novembre au théâtre des Bergeries (Noisy-le-Sec) 8€

Eric Toulis (chanson française)

Chanson française, comme Dominique A alors ? Non . Pas rock du tout, reposant pour les oreilles, mais vivifiant pour l'esprit. De la bonne chanson française de cabaret légère et pleine d'humour.

Après 10 années d'" Escroqueries " et 4 albums, Eric Toulis - le prolifique auteur, compositeur, interprète du groupe Les Escrocs- débarque désormais en solo avec un bouquet de nouvelles chansons à l'humour éclaboussant.
Moitié kabyle moitié breton, son nomadisme ne l'entraîne ni dans les déserts de sable, ni sur les grands océans, mais sur les chemins de l'aventure de tous les jours, source de " ses " inspirations.
Toulis proclame une liberté totale et pousse la claustrophobie jusqu'au refus absolu de s'enfermer dans un genre… ou dans un avion. Sa qualité prédominante : mettre de bonne humeur même les plus coincés. Tonique, même dans l'émotion, il refait une santé morale en trois refrains. "Assedic, je t'écrirai de temps en temps", "Loukoum et camembert"...

A découvrir

- Dimanche 19 novembre à 20h 30 au théâtre des Bergeries (Noisy-le-Sec) - 14€ - Danse contemporaine

Roméo et Juliette- Berlioz / Malandain

Ballet de Biarritz

Chorégraphie : Thierry Malandain
Danseurs : Ione Miren Aguirre, Aurélien Alberge, Raphaël Canet, Olivier Coëffard, Ellyce Daniele, Frederik Deberdt, Michaël Garcia, Cédric Godefroid, Aureline Guillot, Jacob Hernandez Martin, Miyuki Kanéi, Mathilde Labé, Fábio Lopes, Nuria Lopez Cortés, Silvia Magalhaes, Arnaud Mahouy, Joséphine Pra, Magali Praud, Nathalie Verspecht, Daniel Vizcayo
Musique : Hector Berlioz
Costumes : Jorge Gallardo
Réalisation costumes : Véronique Murat
Conception lumière : Jean-Claude Asquié

L'Express - C'est dans le grand souffle de Berlioz, dans le précipité de cette musique pressante, mais à point suspendue, que Thierry Malandain a enchâssé ses visions de Roméo et Juliette. Vision d'une jeunesse retournée contre elle-même, vision de joie assassinée, d'amour et de mort. Tout se joue entre les lumières transparentes de Jean-Claude Asquié et les blocs d'acier brillant formés par une douzaine de cantines métalliques manipulées à vue, parfois lieux propices à la bagarre, parfois malle aux costumes, lits ou tombeaux. La rencontre entre le métal et la chair des neuf couples de danseurs, la stridence des cuivres, l'emportement des ensembles parfaits, escamotés comme par magie, tout concourt à créer un climat dans lequel le spectateur se trouve happé. Commençant avec le récit de la mort des amants par le frère Laurent, moment où Berlioz déploie ses forces comme une sombre mer, Malandain renverse le texte shakespearien et se l'approprie en l'habitant de son époque, et c'est cela qui touche. Interprété par une troupe fervente, son ballet fera date.

Sud-Ouest -Thierry Malandain i est partout et dans tous les cœurs depuis son véritable triomphe de samedi soir (près de dix minutes d'applaudissements, de rappels). La Gare du Midi a chaviré pour son « Roméo et Juliette ». Des spectateurs essuient même des larmes, furtivement Quelle bonne idée d'avoir opté pour le « Roméo et Juliette » de Berlioz plutôt que celui de Prokofiev. Ce qui est un requiem est aussi une renaissance, une élévation, une entrée par les portes du paradis. Le « Roméo et Juliette » de Thierry Malandain accompagne le couple dans la mort, mais surtout dans sa joie de vivre et dans sa renaissance. Neuf Roméo et neuf Juliette sur scène (autre bonne idée) une multiplication qui ne noie pas le couple, au contraire. Le talent de Malandain réside dans cette capacité à rester dans l'intime tout en étant collectif, à décupler les émotions sans les disperser

-Mardi 27 novembre à 20h 30 au théâre des Bergeries - 12€

Undouble plateau proposé par le festival africolor

- En première partie: Lam Dyali, un projet d’Ablaye Cissoko, le "griot" et Beñat Achiary(un basque habitué des spectacles de Bernard Lubat, construit à partir des poèmes d’ Aimé Césaire. Une rencontre musicale magique, un voyage musical marqué par le multiculturalisme et une invitation à entendre des rythmes colorés rt deux voix magnifiques.

- En seconde partie: Ray Lema.Considéré comme le plus audacieux des musiciens africains, le compositeurRay Lemaprend un réel plaisir à réinventer les rythmes caribéens ou afro-ethniques dans l'expression rythmique et mélodique de ses pièces.Samusiqueporte toujours une lumineuse et aérienne sérénité.Il a multiplié les expériences mêlant choeurs bulgares, polyphonies pygmées, synthétiseurs rock, orchestres symphoniques et musiques de danse marocaine.

Unconcertcomme un bijou d'une fraîcheur et d'une sobriété rares, dont la musique bien inspirée porte la marque de sonCongonatal.Retrouvez-le dans son voyage musical entre Europe etAfrique:Station Congo.

-Samedi 1er décembre à 20h 30 au théâre des Bergeries - 12€

Quand m'embrasseras-tu ?

 

Quand m'embrasseras-tu? Réunit des textes de l'auteur Palestinien Mahmoud Darwich, le comédien Abdelwaheb Sefsaf, Georges Baux, Claude Gomez et Thierry Xavier. Ode à l'amour entre les hommes, sur fond de tapis d'orient, ce "concert" mélange poésie, peinture, voix et chant d'inspiration orientale avec en live accordéon, guitare, orgue et percussions. Par la compagnie Brozzoni.



-Samedi 15 décembre à 20h 30 au théâre des Bergeries - 12€

 

Dominique Brun-Sacre#197,

LeSacredu printemps selon et (d ')après Nijinsky...

 

Près de deux cents danses ont été créées à ce jour sur la partition duSacre du printempsde Stravinsky ! La création de Dominique Brun présentera six danses sacrales à partir de dessins de 1913 de Valentine Gross-Hugo qui reflètent la danse originelle de Vaslav Nijinski. Chaque interprète créera une danse qui lui sera singulière. La pièce propose une redécouverte de la musique de Stravinsky ramenée à l’exploration de ses registres instrumentaux et chantée sur scène par une interprète mezzo-soprano. Il s’agit pour la chorégraphe d’inverser le processus instauré historiquement en laissant opérer la danse sur la musique et non le contraire…

Jean-Claude DE SAINT RIQUET

[email protected]

01 48 45 24 11 / 06 83 94 04 92


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