La semaine dernière, L’Express lâchait une petite bombe médiatique en portant de lourds soupçons sur les États-Unis concernant une cyberattaque ayant visé la France. En effet, en mai dernier, le palais présidentiel aurait été infecté par un Malware, qui aurait des points communs avec Flame, qui lui aurait été conçu par les États-Unis.
Bien évidemment l’ambassade américaine de Paris a formellement démenti ces accusations, rappelant au passage la collaboration entre les deux pays, ainsi que leur but commun concernant la lutte antiterroriste. Mais cela n’a pas l’air de suffire à l’État français, c’est du moins ce que révèle le journal Le Monde :
De source diplomatique, on indique que la France attend des explications du gouvernement américain
Ainsi, le gouvernement ne se satisferait pas des explications de l’oncle Sam. Une drôle d’histoire presque surréaliste concernant la cyberguerre contemporaine.