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La soirée sans fin

Publié le 27 novembre 2012 par Bobby @MissBobbyD
Je rentre d’une projection/soirée. Je suis fatiguée et je suis censée aller me coucher parce qu’il faut bien se lever pour aller bosser. Au lieu de ça, pour la deuxième, voire la troisième fois, j’ai envie d’écrire. Ca part de ce tweet que je viens de faire : Pourquoi quand je rentre de soirée j’ai toujours envie d’écrire (mode Carrie Bradshaw) ?
Et en fait, en y réfléchissant bien, je suis plus Hannah Horvath dans la série Girls que Carrie dans Sex and the City. Héroïne qui ne rentre pas dans un 36, qui fréquente un mec qui ne veut pas s’engager, qui galère à devenir écrivaine (pas mon cas, célèbre blogueuse que je suis), un peu pas mal paumée sur les bords. Ouais, ça, c’est moi.
Alors quand je rentre de soirée, une fois que le cerveau se remet en route, que je fais un bilan de ma vie comme tous les soirs (j’exagère à peine), j’ai envie d’écrire, très bon remède paraît-il. Avant je le faisais dans un carnet, en ce moment, j’ai envie de le faire ici. J’ai envie de vous parler de mes états d’âme, mais je n’en ferai rien. Trop nombreux sont ceux qui se réjouiraient et je tiens tout de même à ma fierté. J’ai envie de vous parler de tout et de rien (c’est quasiment le cas dans mes derniers billets, pas non plus super palpitant), de mes interrogations existentielles : pourquoi le ciel est bleu ? Pourquoi la Terre est ronde ? Et pourquoi quand je monte en voiture et que j’écris un sms, j’ai la nausée ?
J’aimerai vous dire tout ce que j’ai sur le coeur, mais je ne le ferai pas pour la raison sus mentionnée ci-dessus (toujours voulu placer « sus » dans une phrase), au lieu de ça, je tourne autour du pot.
Ceci ne sera pas un article prolifique (j’ai pensé à Frolic, la marque de croquettes pour chien… ouais ok il est temps d’aller dormir Bob’, oui je parle à moi-même, enfin j’écris à moi-même, j’aime bien me laisser des petites notes comme ça, en général c’est toujours la même chose que je m’écris :
- beurre
- lait
- oeufs
- pain
Etc.
Je reprends ma parenthèse) et qu’est-ce que je disais ?! Ah oui, merci ! Pas un article prolifique, ni qui restera marqué dans les annales puisque j’écris pour ne rien dire. Comme si je faisais tout pour ne pas arrêter l’article, pour rester encore un peu avec vous avant d’aller rejoindre Morpheus. Qu’est-ce qu’on fait ? Je raccroche ou tu raccroches en premier ? A trois ? Ok !
1, 2… 3 ! Nannn on avait dit que c’était toi qui raccrochait !
Bon on recommence :
1, 2……… sistense…… 3 !
Clap ! Bip, bip, bip…
La soirée sans fin

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