J'ai fait un peeling.

Oui je sais, moi aussi quand on me parle peeling, je pense immédiatement à Samantha dans Sex & The City, et à ça :       Lorsque je me suis rendue chez Filorga, pour un soin « éclat », qui comprenait un peeling, je vous avoue avoir un peu eu peur, surtout vu l’état de déshydratation déplorable de ma peau.    J’ai bien sûr parlé de mes craintes à l’esthéticienne (quoi ? Moi une fille ultra angoissée? Si peu Bernadette…) qui m’a alors expliqué que les peelings se faisaient sur TOUS les types de peaux, aussi bien sur les peaux grasses, que matures, que sèches. J’avoue que là j’ai eu le bec cloué, pour moi un peeling était un « soin » ultra abrasif, ultra agressif, et j’avais un peu de mal à comprendre comment une peau sèche et déshydratée comme la mienne allait pouvoir supporter un peeling.    C’est là que j’ai appris qu’il y avait trois sortes de peelings : -  Les peelings légers, pour tous les types de peaux ;-  Les peelings moyens, un peu plus costaud, qui peuvent causer des croutes dans les jours suivants l’application du peeling ;-  Les peelings forts, qui sont souvent critiqués et pas forcement recommandés, où là la peau pèle pendant des jours ;   Vous vous en doutez, j’ai eu le droit au peeling léger, en version ultra légère.   Je m’explique, ce peeling est recommandé pour tous les types de peaux car l’esthéticienne l’adapte et le dose en fonction ; par exemple pour une peau sèche et déshydratée comme la mienne, le peeling a été dosé de façon ultra light et le temps de pause a été d’une minute, pour une peau un peu plus résistante que la mienne le temps de pause aurait été plus long (toutefois sans jamais excéder 6 minutes).   Parlons un peu du peeling en lui-même, avant l’application un produit est appliqué pour « préparer » la peau à recevoir le peeling, puis le peeling en lui-même est appliqué (le temps de pause est different d'une peau à l'autre), puis on retire le tout et un masque rafraichissant est posé.    Ce que j’en pense ? L’application du peeling en lui-même m’a un peu piqué/brulé, mais c’était largement supportable. Par contre à cause de cette sensation de brulure assez persistante, j’ai eu une trouille bleue de me retrouver avec le visage rouge (sachant qu’il était 10h du matin, et que j’avais encore une loooongue journée devant moi), mais pas du tout, je n’ai eu aucune rougeur rien. Par contre, ma peau a commencé à me tirer/bruler vers 16h, après l’application d’une crème ultra nourrissante/ hydratante ça a été beaucoup mieux, mais j’ai quand même ressenti une gène jusqu’au lendemain soir.    En parlant avec l’esthéticienne, j’ai appris que ma peau était ultra ultra déshydratée, que les peelings étaient recommandés en début d’automne et au début du printemps, pour faire « peau neuve » à chaque gros changement de températures, que les peelings étaient top pour les peaux matures mais aussi pour les peaux aussi sèches que la mienne car çela débarrasse le visage de toutes nos peaux mortes et qu’à l’application d’une crème hydratante celle-ci pénétre mieux et les effets sont donc décuplés. J’ai également appris qu’après un peeling la peau continuait de travailler pendant plus ou moins sept jours, et que c’était à ce moment là que l’on pouvait vraiment « juger » les résultats.    Pour ce qui est des résultats justement, je dois dire que j’ai été vraiment satisfaite, mon teint est vraiment plus éclatant, plus lumineux, ma peau est vraiment vraiment plus belle, je suis assez bluffée.      Pour conclure je dirais que même si j’ai eu une gène pendant 48 h, avec la peau qui tiraille et qui brule un peu, le résultat en valait la chandelle, ma peau est plus jolie, mon teint plus lumineux, plus éclatant, j’ai vraiment été conquise par le peeling en lui-même mais aussi par l’institut Filorga qui est ultra classe, très propre (et je vous assure que j’ai été dans 2 ou 3 instituts dernièrement, et bien ce n’était pas vraiment le cas), l’esthéticienne est à l’écoute, prend le temps de rassurer les personnes angoissées comme moi, bref ce ne fut que du bonheur !