Je me suis intéressé au changement, parce que je ne l’aime
pas. Je l’ai vécu comme imposé et néfaste. Car les changements de ces dernières
décennies sont à l’image de la haute société anglaise. Elle vit dans les châteaux
de ses ancêtres, mais trouve naturel de bousiller l’existence du petit peuple,
afin qu’il obéisse à son bon plaisir.
Mais, il y a une autre forme de changement. La société et la
nature se transforment. Il est impossible de s’y opposer. Les (néo)conservateurs
(qui veulent que le changement continue à s’appliquer aux autres) et les
fondamentalistes ne peuvent qu’échouer.
En fait, ce changement peut être orienté dans un sens qui
nous est favorable. C’est cela l’art de la conduite du changement. Ou de bien
se conduire dans le changement ?