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des blogueurs de gouvernement à la curée… c’est pas beau à voir

Publié le 15 décembre 2012 par Mister Gdec

hyènes

ça y est, c’est l’hallali. Pas beau à voir… Des blogueurs de gouvernement ont encore organisé  un dîner de cons. Peuvent pas s’en empêcher. C’était hier. Et pour que ça se sache, David Burlot, l’un de ceusse qui, un personnage exquis, vraiment,  en a fait un billet. Qui est l’heureux élu, cette fois ? Hier Bibi, autrefois votre humble serviteur, et maintenant…. Denis. Les hyènes chassent toujours en meute, c’est bien connu. A la ville comme à la campagne, quand on trouve un spécimen rare, et qu’on le tient,  surtout quand il pose des questions qui dérangent, on ne le lâche plus. Et on en fait tout un plat, pour le moindre prétexte, surtout le plus futile. Je le sais, j’en ai fait les frais. Il est formellement interdit de critiquer les patrons des blogs. Qui ne sont pas toujours ceux qu’on croit. Et encore moins de toucher à la sacro-sainte neutralité des blogueurs, même quand ils sont de gouvernement. Sans quoi il vous en coûtera.

Mais quel crime ignoble a donc commis Denis pour justifier tant de haine et de mépris ? Il a suggéré dans un billet que peut-être, ces blogueurs là n’étaient pas si inspirés qu’il y parait, et que peut-être certains reprendraient les éléments de langage de la cellule élyséenne pour argumenter leurs billets…. Intéressante question ! Voilà belle matière à débat, à billets croisés, en un mot à de l’argumentation, plutôt que des insultes. Mais depuis, c’est la curée… Les hyènes s’en donnent à cœur joie. Faut dire qu’ils ont eu pour parfaire leur (mauvaise) éducation un bien mauvais maître en la matière…Qui ne sait que manier l’insulte dès qu’on le contredit, et qu’on varie de la version officielle imposée. Ainsi, #NDDL…

Et si nous allions leur dire deux mots sur la façon de se comporter en public, et combien s’attaquer aux plus faibles d’entre nous, ce n’est pas joli, joli… hum ? Qu’en pensez-vous ? Parce que voyez-vous, pour moi, les ignorer, c’est se placer en situation de non assistance à personne en danger, tant leur hargne à chasser le contestataire est grande…

Et puis, c’est plus fort que moi, laisser quelqu’un se faire massacrer à cinq contre un, que voulez vous…. J’peux pas rester sans rien faire. La solidarité, quels que soient les torts ou les raisons de Denis, pour moi, ce n’est pas qu’un vain mot. Mais un acte.  Alors ? On fait quoi ? C’est quand qu’on va où ?


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