L’ami s’en va,le proche impose son absence,
La mort nous entraîne à son habitude,
L’amour se conjugue au passé,
Pourtant en notre mémoire impose son éternel présent,
Dit leur présence bien ailleurs que dans leur corps,
Oui nos sentiments parlent encore,
En eux nos aimants,nos amants s’expriment,
Nous les entendons,ils sont là,si proches,
Notre coeur les voit,
La mort n’est que soumise à l’amour.