Si l'AMT (ndlr l'agence métropolitaine de transport) n'avait pas d'intention malicieuse, écrivent-ils, elle laisse croire qu'elle en avait, et par ses propos, sa conduite et son comportement dans l'exercice de son pouvoir d'expropriation. La mauvaise foi d'un corps public n'est pas facile à prouver, mais la conduite de l'AMT dans la présente affaire en a les attributs.
(NDLR les dirigeants d'un monopole gouvernemental ont un pouvoir quasi absolu et les plus mesquins d'entre-eux n'hésitent à en abuser.)