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Le Nouvel Observateur suit les pas de Gérard Depardieu et exile son droit du travail en Chine

Publié le 02 janvier 2013 par Bravepatrie

Aujourd’hui, la rédaction se met en branle [1] afin de défendre une cause pour laquelle même Jean-Pierre Raffarin et Michel Rocard feraient des cœurs avec les doigts.

C’est en dégustant un verre de Saint Emilion millésimé que nous est parvenue l’horrible nouvelle, et recracher une bibine d’une aussi grande qualité sur un tout nouveau Macbook Air© acheté avant-hier en nocturne devant l’Apple© Store d’Opéra, ça fait tout de même mal au cœur.

On aura pu lire ici les déboires que l’ignoble feuille de chou crypto gauchiste communément nommée Le Nouvel Observateur a fait subir à Gaëlle-Marie Zimmerman, une femme très hot que la rédaction respecte énormément.
Pour ceux de nos lecteurs qui n’auraient pas pris connaissance de cet article, voici un résumé : l’essuie-mains susnommé et les DRH d’icelui ont fait signer à l’intéressée des papiers qui n’existaient pas, de manière à pouvoir, le mois dernier, la licencier invoquer la fin d’un contrat qu’elle n’avait pas signé.
La pratique n’est pas sans précédent puisqu’on la constate parfois dans les camps de travail forcé chinois ou encore nord-coréens.

Une foule chaleureuse accueille Brave Patrie dans la salle de rédaction du Plus.">

Une foule chaleureuse accueille Brave Patrie dans la salle de rédaction du Plus.

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Une foule chaleureuse accueille Brave Patrie dans la salle de rédaction du Plus.

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Une foule chaleureuse accueille Brave Patrie dans la salle de rédaction du Plus.

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Une foule chaleureuse accueille Brave Patrie dans la salle de rédaction du Plus.

La rédaction de Brave Patrie s’est donc rendue mardi 1er janvier aux locaux du Nouvel Obs pour découvrir les tenants et aboutissants de l’affaire.
11h12 : Arrivée aux checkpoint. Maurice Panel nous parle du Viet-Nam, sans interruption. Ni volontaire, ni de grossesse.
11h20 : La rédaction franchit le checkpoint mais le kilt de monsieur Kala s’accroche aux barbelés qui protègent les murs d’enceinte, ce qui ne fait pas très bonne impression auprès des guides-accompagnateurs lourdement armés.
11h30 : La rédaction arrive à l’accueil, orné de portraits de Mao Zedong et où résonne l’hymne national cantonnais. Dédé Lajoie est aux aguets, prêt à dégainer son slip jaune. La rédaction est en terrain ennemi et le sait. Elle demande, avec un léger accent pékinois, à s’entretenir avec son homologue du Plus, ou à tout le moins moins avec la Direction des Ressources Humaines.
11h31 : La charmante dame de l’accueil annonce que pas possible, sur place, a emporter, pas possible, pas comprendre.

C’est à ce jour la seule réaction recueillie auprès du Nouvel Observateur, qui semble ne pas vouloir s’expliquer au sujet de cet événement. Ou plutôt non-événement, puisqu’il n’a jamais existé. Tout comme le contrat. La rédaction se retrouve donc face à un mur de silence. Que s’est-il passé ?
Il convient de se poser la question : Jean-Paul Sartre aurait-il été licencié sans avoir le droit à un moindre fond d’ASSEDIC ? Roger Stephane et Jean Daniel, même s’ils ont des noms en forme de prénoms, auraient-ils approuvé ce choix ? Le choix du National Communisme ? La sinisation de l’information ?

Nous ne le croyons pas. Ici à la rédaction, nous n’aimons pas beaucoup les petites arnaques entre amis. Alors Aude Baron, sors tes doigts de ton cul et respecte le droit du travail bravepatriote.
Parce que Oui Madame ! Nous sommes encore chez nous en France. Et non Madame ! Vous n’êtes pas au dessus des lois.

Notes

[1] Envoie BRANLE au 8 12 12 pour parler à des milliers de femmes très hot


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