Avec l’homme aux « 140 carnets » écrits tassés et noir, aux mille citations dites de mémoire ou bien lues, nous parlons de « l’esprit classique », de notre époque avec laquelle il faut vivre « sans en être l’esclave » et des hommes politiques assis sur des bancs trop hauts pour eux qui gambillent.
Denis Grozdanovitch ? Un homme charmant
Denis Grozdanovitch
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