je m'apprête à aller rendre hommage à Philippe Chat au Père Lachaise. Un rendez-vous que je veux éloigné de la tristesse et porter sous le signe de la continuité de son travail, de la pérennité de son engagement plasticien pour notre ville. De cette envie de tous ses amis plasticiens de dépasser cette disparition, ce désarroi et cette injustice d'une cruelle et sale maladie pour en cette après-midi hivernale trouver les bonnes couleurs, la juste ligne, l'équilibre des formes. Mais la tache est lourde.