Bonjour tout le monde! Un réveil blanc pour moi, je sais pas vous? J’adore la neige, sérieusement, je dois être comme un bébé chien, je ne rêve que de me rouler dedans! ^^
Bref, vous l’avez lu hier dans le TFMA, s’il y a un film au sex-appeal plus épais que la moustache de l’oncle Vernon, c’est bien Zorro nouvelle version. Parce que, cessez un peu, Antonio c’est un ptit merdeux…
Il est malin, Martin Campbell. Trois ans après nous avoir pondu Goldeneye, qui est quand même l’un des meilleurs James Bond du monde (tu mens, Skyfall), il nous pond ça. Avec la recette qui fonctionne toujours autant au ciné hollywoodien, quoique moins bien quand même.
La recette? Ben, tu mélanges un héros de légende, un acteur un brin canaillou avec un accent du sud de l’Europe (ben ça alors), un gonzesse canonissime mais pas si potiche que ça, des scènes multo caldo entre les deux, un vilain blondinet avec un accent de mâcheurs de chewing-gums, et un acteur anglais vénéré. Tu mélanges, et ça donne The mask of Zorro.
Rien que de l’avoir vu enfin en VO me donne des frissons. Sérieusement, Anthony Hopkins, il a une voix mirifique, nan? Comme Antonio, d’ailleurs, bien que je connaisse la voix de Puss par coeur (Pray for mercy from…Puss…in boots!), il a un accent j’avoue assez minouche. Même si Antonio, ben, c’est quand même l’un des nombreux fantasmes de Môman… ^^ Et Catherine Zeta-Jones, ben, elle me rendra toujours jalouse, cette pétasse. Elle est trop belle.
Bref, un nouveau Zorro tout en blagounettes et en M…for Murietta, qui s’appelle Alejandro (et on crache pas le « j », merci bien), et dont le frérot a été décapité par un connard ressemblant à s’y méprendre à un certain Custer…
Une Elena Montero-de la Vega pas du tout potiche (voyez plus bas), wild thing ça, dis-donc…
Un Diego de la Vega classieux et tout, avec des yeux bleus qui te semblent voir jusqu’au tréfonds de ton écran (à défaut de voir ton âme), et qui te bastonne comme personne.
Et une scène mythique, celle des écuries, et j’ai pas pu résister, désolée… Vous aurez sans doute besoin d’une douche froide après…
Bref, The mask of Zorro, c’est un film à voir. Et à revoir. Parce que sa suite est moins bien (même si je suis amoureuse de Joaquin, il est TROP CHOU!), et que ça se mange sans faim.
Note: 8/10 (scénario: 7/10 - jeu: 8/10 - BO: 8/10 (pourriture de Tina Arena, bordel!) – adaptation: 9/10)