L’église de scientologie possède de nombreuses organisations non-gouvernementales afin de faire la promotion de la doctrine scientologue. Que ce soit dans de soit-disantes organisations pour les droits de l’homme (qui ne font que dénoncer la psychiatrie) ou encore pour la lutte contre la drogue, les scientologues utilisent des noms trompeurs qui font croire à des organisations internationales ou locales reconnues. En ce moment au Québec, un soi-disant organisme de lutte contre les drogues, Narconon, fait des présentations auprès des jeunes dans les écoles au sujet de ce qui semble être les narcotiques. Par contre, ces conférenciers semble davantage s’intéresser à la doctrine du fondateur de la secte, L. Ron Hubbard que sur les différentes drogues disponibles dans les cours d’école. Les méthodes de désintoxication ont de quoi inquiéter également, car non seulement elles coûteraient très cher (7000$ par mois) mais seraient dangereuses pour la santé des patients, confiés à des gens sans aucune formation médicale.
Selon des Anonymous (des gens de divers horizons contre la scientologie) qui ont parlés à la journaliste lors de la manifestation anti-scientologue en février, elle aurait été suivie par des détectives privés, un étrange mini-van serait régulièrement stationné devant sa maison et elle recevrait des appels téléphoniques louches le soir. Dénoncer la scientologie ne se fait pas sans risque. C’est pour cette raison que nous vous invitons à regarder ce reportage de radio-canada en deux parties sur ce qui se passe en Mauricie.
Nous préparons un dossier sur la scientologie qui sera disponible dans quelques jours. Les doctrines, le fondateur, les controverses, des noms…
Pour écouter le reportage
Première partie :
Deuxième partie :