The Lying Game // Saison 2. Episode 2. Cheat, Play, Love.
Si l'entrée en matière n'était pas très reluisante, on peut en dire de même de ce second épisode. Je l'ai trouvé assez mauvais mais ce n'est pas nouveau. Pourtant, je reste encore là. Je ne me
comprends pas des fois. Mais ce n'est pas grave. Le problème dans les séries d'ABC Family de ce genre (donc avec Pretty Little Liars), c'est que les mystères
avancent en katimini afin de faire de la place pour les relations amoureuses de chacun. A commencer par Sutton qui fait en sorte qu'Ethan sache qu'elle a des sentiments pour lui pendant que le
petite Thayer se retrouve encore une fois au beau milieu de tout ça, largué. J'aime bien Thayer mais je trouve dommage qu'il n'ait pas pu démarrer de relation stable avec Sutton. On sent qu'au
final elle l'utilisait depuis le début et ce, pas tellement dans le meilleur des buts qu'il soit. Pendant ce temps, Rebecca tente de récupérer Ted. Je me demande bien ce qu'elle veut faire de ce
looser hors catégorie. Mais l'on sait pertinement qu'elle en est un peu amoureuse finalement, c'est aussi avec lui qu'elle a eu Sutton et Emma.
Les manigances de Rebecca sont toujours aussi pathétiques. Le problème vient de Charisma Carpenter qui, par son côté très vulgo, me rappelle un peu la polonaise de 2
Broke Girls. On a l'impression qu'elle surjoue un peu toutes ses scènes et ce n'est clairement pas ce que je viens rechercher quand je regarde The Lying Game. Loin de
là. Du coup, il en va de même avec la petite explication qu'Ethan et Emma vont partager. Une fois de plus le ridicule ne tue pas. Je ne comprends pas ce jeu de chaise musicale entre les amants
des deux soeurs jumelles. La série est tellement feignantes sur le reste qu'elle bouche les trous avec des choses pas assez plaisantes. La meilleure scène de l'épisode restera surement celle où
Kristin Mercer s'énerve toute soeur comme une folle furieuse. Helen Slater joue tellement bien qu'elle m'a rappelle El Diablo (cette telenovela diffusée sur
AB1). En tout cas, The Lying Game me permet de rire et je l'en remercie. Côté mystères, Alec reste encore une fois en arrière plan alors qu'il apporte de mon
point de vue bien plus que le reste des personnages de la série. C'est dommage de l'exploiter aussi mal.

Note : 3/10. En bref, l'amour alourdi la série de manière significative... Dommage.