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Django unchained

Publié le 19 janvier 2013 par Bigreblog

Re-bonjour les gens! Alors, je le sais, vous trépignez, mon dieu que vous trépignez.

Mais allez-y, chopez-le, le bouton, lisez la suite, même si je spoile! ^^

Mais ne vous faites pas d’illusion, Django unchained, c’est un film dont l’attrait ne tient qu’à une personne, une seule. Mon Génie du Mal adoré. :p

Major spoiler alert!

Je vous l’ai déjà peut-être conté, mais au départ, je déteste Tarantino. Avec mes tripes et boyaux. J’ai détesté Kill Bill, Reservoir dogs et autres Pulp Fiction. Et puis là, ma Kate germanophile d’amour me dit qu’Inglorious Basterds est un must-see. Je dis non, parce qu’il y a Brad Pitt en tête d’affiche, et que j’en ai ras-la-couenne de Brad Pitt. Mais là, elle me dit: « C’est pas lui le héros » en souriant de toutes ses dents. Adjugé. Et vous connaissez la suite.

Mon coup de foudre pour Christoph Waltz (‘fin, surtout sa manière de jouer, c’est un vrai clown, ce gars) est mon principal appât pour aller voir Django. Et je ne suis pas déçue d’avoir répondu à l’appel de l’Autrichien naturalisé Allemand.

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Django est un western, là, on est d’accord, Quentin. Les zooms bien débiles sur DiCaprio avec un ptit bruit de fouet derrière m’ont fait rire aux larmes (tellement on l’a bien enlaidi, le chéri de ses dames). Les morts toutes tarantiniennes avec les tripes qui sortent et tout. Et bien sûr, l’absence de dialogues de la part du-dit Django jusqu’au moment où son mentor décède.

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Ouais, soit dit en passant, PERSONNE ne tue Christoph Waltz sans subir mon courroux. La croix gammée gravée sur le front était déjà un affront (oh, ça rime en plus!).

Vers les trois-quarts du film donc, ça y est, on a droit au vrai Christoph Waltz, celui qui est quadrilingue. Il se pointe chez Leo en parlant français (love you, guy), et switche à l’allemand (que je commence vraiment à apprécier, entre lui et Michael Fassbender) dès que Brunehilde se pointe dans sa chambre. Je passe sur le nom débile alloué à la demoiselle.

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Matez-moi la classe oozant de ce truc à gauche…

Quelques minutes plus tard, après une démonstration de Génie du Mal comme je les aime (Leo, tu t’es fait baiser méchamment), un connard appelé Butch tue mon Génie du Mal. Je crie de haine. Non. Je refuse. Quoique, j’avoue que même mourir, il le fait avec classe, le Christoph du Pitz Palu.

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L’homme à la barbe extraordinaire… ^^

Enfin, sans son interprète principal (tu m’excuseras, Jamie, mais tu m’ennuies), le film ne ressemble plus à rien, et je me suis endormie. A moins que ce ne soit la faute de Poussin qui a décidé de me bercer… ^^

Bref, Django unchained est moins jouissif qu’Inglorious Basterds, mais est toujours très agréable à regarder, jusqu’à, quoi. Jetez-vous dessus.

Note: 8,25/10 (scénario: 8/10 (personne ne tue Christoph, personne!) - jeu: 9/10BO: 7/10 (le vieux rap de merde qui se pointe de façon aléatoire, c’était pitoyable)respect du genre: 9/10)

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Un jour, je vous parlerai de Stephen… ^^



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