House of Lies // Saison 2. Episode 2. Games in Vegas.
Après un premier épisode assez déroutant, dans le sens où il apportait quelques modifications à la série, celui ci va dans cette continuité et je dois avouer que j'aime bien. Comme l'une des
promesses de cette saison était de voyager un peu plus, nous allons nous rendre à Las Vegas cette semaine afin de suivre le Pod lors de leur toute dernière mission. J'aime bien la manière dont
les choses commencent à progresser cette année. Si durant la première saison, Don Cheadle était l'une des erreurs de la série, il commence à trouver son rythme et à être bien
plus à l'aise dans son rôle. Même si je ne le trouve pas exceptionnel, il était bien moins décevant. On peut dire la même chose de Jeannie qui ne servait pas aussi bien le récit durant toute la
première saison que durant ces deux premiers épisodes. Le voyage à Vegas va surtout permettre de remettre les choses dans l'ordre. A la fin de l'épisode précédent nous apprenions que Jeannie
avait dit, bourrée, qu'elle était amoureuse de lui à Marty.
Ce que cet épisode nous apporte comme information supplémentaire c'est que Marty avait dit "I love you too" juste après lui aussi. Le fait que les deux personnages se souviennent
maintenant ce qu'ils se sont avoué durant cette folle soirée 'a la' Very Bad Trip va permettre de faire évoluer les choses entre les deux tourtereaux. Je ne suis pas certain
d'avoir envie de voir Jeannie avec Marty pour le moment, mais si le tout est bien amené, pourquoi pas après tout. Vous ne croyez pas ? Pendant ce temps, Jeannie va mettre les choses au point avec
Julianne alors que l'on en sait un peu plus sur ses réelles intentions. Un choix judicieux qui permet de donner à Jeannie une fois de plus une place beaucoup plus importante dans la série ce que
j'ai bien apprécié. Finalement, de ce point de vue là, la série évolue dans une bonne direction. Mais… il y a forcément des choses décevantes et tout le reste manquait encore une fois de
substance.

Note : 4/10. En bref, encourageant d'un côté mais toujours bourré de défauts de l'autre. Dommage.