Magazine Poésie
Con large comme un estuaireOù meurt mon amoureux refluxTu as la saveur poissonnièrel’odeur de la bite et du cul
La fraîche odeur trouduculièreFemme ô vagin inépuisableDont le souvenir fait banderTes nichons distribuent la manneTes cuisses quelle voluptémême tes menstrues sanglantesSont une liqueur violenteLa rose-thé de ton prépuceAuprès de moi s’épanouitOn dirait d’un vieux boyard russeLe chibre (***) sanguin et bouffiLorsqu’au plus fort de la partouseMa bouche à ton noeud fait ventouse.*** organe sexuel masculin