dimanche 27 janvier : 2 RAISONS D'ETRE HEUREUX !

J’attendais une bonne nouvelle cette année pour écrire un article sur ce blog. Il aura fallu s’armer de patience ! En effet, 2013 débute avec un contexte international extrêmement tendu : guerre au Mali, guerre en Somalie, situation explosive en Syrie. La France s’engage (tant mieux) mais sans vision dans ces conflits. Personne ne peut prévoir la durée de notre présence dans ces pays explosifs. Mais revenons à la raison de cet article ! La bonne nouvelle, elle est arrivée jeudi à Roissy. Elle s’appelle Florence Cassez. Cette française de 37 ans a été libérée après 7 années passées dans les prisons au Mexique. Si la justice ne l’a pas innocentée, elle a reconnu un vice de forme dans la procédure et été sensibilisée aux médias qui ont reconnu une mise en scène de son arrestation orchestrée par l’ancien président Calderon. La mobilisation de Nicolas Sarkozy et François Hollande, une justice mexicaine devenue indépendante auront eu raison de l’attente de Florence Cassez. Orginaire de Béthune (Nord), l’ex-prisonnière a retrouvé les siens.

Rien à voir, mais j’ai une deuxième raison de me réjouir de la semaine qui vient de s’écouler ! Chaque année je me régale à l’idée « qu’un petit mange un gros ». Non, il ne s’agit pas d’un plaisir culinaire macabre, mais de la victoire d’un petit club de football amateur sur une grosse cylindrée professionnelle ! Ce sont les joies de la Coupe de France. Et cette année, je suis doublement heureux puisque 2 clubs vosgiens sont en 8^e de Finale ! C’est historique. Le premier, c’est le SAS Epinal, avant dernier de Nationale. Les protégés du président Viry ont réalisé pour l’heure deux exploits : battre le tenant du titre Lyon (32^e de finale) et Nantes (16^e de Finale). Le deuxième, c’est l’US Raon l’Etape ! 11^e de CFA, les Raonnais ont pris le dessus sur Amnéville (32^e) et Istres (16^e). Le 26 février prochain, les Raon accueillera les Girondins de Bordeaux (Ligue 1) tandis que les Spinaliens se déplaceront à Lens (Ligue 2). A Epinal, on chante déjà : « Au Nord, y’avait les corons. A l’Est, les futurs champions ! ».