Men in Black 3

Fallait bien qu’on y passe un jour où l’autre…

J’ai été fan du premier film, j’ai déploré le second, et voilà que j’adore le troisième…

Misère…

Bion, l’atout de ce film-ci, c’est l’attention toute particulière posée sur le personnage de K, son célèbre tirage de gueule et le pourquoi qu’il est devenu comme ça. L’humour Will Smithien en plus, avec une dose minimale d’alien moche et pas beau, ça donne un bon cru.

He smiles like this:

J, cet espèce d’abruti d’afro-américain qui ne serait rien sans son coéquipier, doit donc remonter le temps jusqu’en 1969, à la veille du départ pour la Lune, pour sauver son ami d’une fin pas très agréable…

K, lui, se la joue dépressif dans la première partie du film, et vachement plus sympatoche sous les traits de Josh Brolin, bravo Monsieur.

Et Emma Thompson, dérision 5 millions, nous offre encore une scène d’anthologie… I adore her.

Par contre, Boris l’Animal, il est très très laid. Et il roule une de ces galoches à te faire vomir à Nicole Fuckin’ Sherzinger… Qui s’en fout royalement. Espèce de Pussychatte!

Bref, les amigos, je vais pas m’éterniser, pour ceux et celles qui auraient détesté le second opus, mangez-vous celui-ci, il est vachement meilleur, et notre faith in humanity est restored easily.

Note: 8/10 (scénario: 8/10 – jeu: 8/10 – BO: 7/10 – renouveau: 9/10)