Catch Me If You Can // 2 710 000 tlsp.
Ah ! Doit-on supposer suite à ce bon épisode que la saison 4 de Vampire Diaries est enfin lancée, après une grosse grosse panne au démarrage ? On dirait que les scénaristes savent désormais où ils veulent en venir, ou en tout cas qu'ils acceptent de nous aider à y voir un peu plus clair. Et ça fait du bien. Premier point positif : on sent comme le début d'une montée en puissance, qui pourrait nous amener jusqu'au final, à moins qu'ils ne choisissent de ne pas faire traîner en longueur la quête du remède, ce dont je doute. Plusieurs teams se forment, quatre pour être plus précis, et tous les joueurs sont succeptibles de changer de camp selon les humeurs et les moyens de pression utilisés contre eux. Bien sûr, à ce petit jeu-là, c'est Klaus qui est le plus fort. Enfin... il prend quand même des décisions douteuses quant à Jeremy. Il adopte une stratégie qui ne pouvait décemment pas être la bonne. Brusquer le chasseur de vampires de la sorte ? Pas une bonne idée. Klaus aurait définitivement besoin de passer ne serait-ce qu'un semestre sur les bancs de la fac à étudier la psycholoqie. Cela l'aiderait beaucoup à comprendre ses adversaires et même ses alliés d'ailleurs. Mais vous imaginez bien qu'il n'a pas encore eu le temps de se pencher sur la question. Cela ne fait que plusieurs siècles qu'il existe après tout ! En fait, la psychologie n'était même pas encore née quand lui a poussé son premier cri. La team de Klaus est aussi celle de Damon, lequel parvient à se débrouiller convenablement pour l'instant. Ce qui serait pas mal, avouons-le, c'est qu'Elena arrête de geindre pour prendre pleinement part au plan. Elle peut. Elle a la force suffisante. Alors qu'est-ce qu'elle attend ? La team Stefan, elle me plait vachement. Et ça me fait tout bizarre de l'écrire. Le duo avec Rebekah fonctionne à merveille, parce que Rebekah est géniale, surtout quand elle fait sa coquine, et lui gagne énormément en charisme depuis qu'il a pris son indépendance. En espérant que ce ne soit pas un leurre. On aime quand il tient tête à Elena.
La team Shane, ce n'est clairement pas celle que je préfère. Déjà parce que historiquement, ce personnage a une sacrée longueur de retard par rapport aux autres. Ensuite parce que l'acteur peine toujours à me convaincre, même s'il s'améliore à mesure que son personnage devient creepy. Enfin parce que... Bonnie est son alliée ! Et Bonnie... c'est Bonnie quoi. Mais pour une fois qu'elle ne ressemble pas qu'à un outil scénaristique, qu'elle prend vraiment part au conflit, qu'elle donne l'impression qu'elle va avoir un rôle important à jouer plus tard, on ne va pas se plaindre ! Et on essaye de fermer les yeux sur les incohérences autour de la détention de Shane... Enfin il y a la "team de l'inconnu". Qui est-il ? D'où vient-il ? On sait juste que ce qu'il veut, c'est le remède, comme les autres. Cette petite touche de mystère ne peut pas faire de mal ma foi. Sinon, il y a Kol, qui se ballade d'une team à une autre. Les auteurs n'ont pas trop l'air de savoir quoi en faire, si ce n'est qu'il nous fait bien comprendre que le Silas il est vraiment trop super méchant. A part ça, les absents de la semaine sont : Tyler, Caroline et April. On s'en passe sans grande difficulté, surtout de la dernière !
// Bilan // Vampire Diaries, c'est comme ça qu'on l'aime : déterminée, rythmée, ambitieuse et vicieuse. Merci de garder le cap !