S’il y a bien un film sur lequel on me demande régulièrement de déverser ma bave, c’est Doom. Il faut dire que tout le monde s’accorde pour détester cette adaptation et je ne compte plus les critiques à base de " Doom c’est comme un cancer de l’anus sans la contrepartie du massage de prostate", "Doom est tellement naze que caster Kristen Stewart dans le rôle d’un des marines l’aurait amélioré" et autres "Doom sent tellement des bras qu’on le dirait scénarisé par Europa Corp, financé par l’état grec et filmé par gilbert montagné".
Du coup, comme Noël approche et qu’il faut bien que je fasse semblant d’être sympa pour avoir des cadeaux, je vais daigner, dans ma grande mansuétude, mettre ma verve au service de la moquerie de cette œuvre filmesque.
"Stoi la mansuétude enculay !! T’as cru que tu pouvais mettre ta verve partout sale obsédé !! Je mange pas de ce pain là alors lâche nous avec tes trucs de dégueulasse et bave plutôt sur Doom !! MAINTENANT"
Et bien, on dirait que certain n’ont retenu que le "pet" dans respect ! Soit, puisque je n’ai aucune volonté propre, "go go go" comme disent les marines qui ont peur que leurs ordres ne soient pas compris s’ils ne les répètent pas trois fois !
Doom, la critique pourrie
Pour ceux d’entre vous qui ne connaissent pas la série de jeux Doom dont ce film est "l’adaptation", et bien, vous avez dû avoir une sacrée jeunesse de mayrde ! Heureusement, vous pouvez toujours vous consoler en vous disant qu’au moins, vous n’être pas un tueur en série en puissance ! Doom est un FPS bourrin dont le scénario tient sur la tranche d’une feuille de PQ Marque Repère ceux avec une seule épaisseur qui grattent : Marine de l’espace + Portail de l’enfer = Boumboum démons. Avec un pitch aussi bateau qu’un port de pêche, difficile d’imaginer comment les scénaristes pourraient foirer leur adaptation ? Heureusement, Hollywood est là !
L’intro de trop
Dans la grande tradition des mises en scène de faignasses, le film démarre avec une voix-off dépressive expliquant qu’en 2026, des chercheurs ont découvert "l’Ark" lors d’une fouille au Nevada alors qu’on sait très bien qu’Indiana Jones l’a rangée dans un hangar. Pour ne rien arranger, cet Ark ne transforme pas des Nazis en effet spécial moche mais téléporte sur une ancienne et mystérieuse citée Martienne.
D’ailleurs, miracle de la transition, le logo d’"Univers mal lavé" apparait et il a été spécialement modifié pour ressembler à Mars parce que le soucis du détail n’est utile que pour flatter les mecs qui financent le film. La caméra zoome ensuite jusque dans les entrailles d’une base ou l’on découvre un groupe de scientifiques fuyant une menace inconnue. Plusieurs d’entre eux se font tuer, enfin je crois, c’est difficile à dire vu que le réalisateur à décidé de rendre hommage à Doom "bordayl on voit kedalle" 3 en éclairant la scène avec son écran de téléphone portable.
Un des chercheurs, le docteur Carmack (*clin d’œil clin d’œil*), parvient à se réfugier dans son bureau. Il active la fermeture des portes à l’instant ou une scientifique qui le talonnait de près tente d’y rentrer. Les battants se referment lourdement sur son bras, le coupant net !! Diantre, je ne sais pas qui a conçu ce centre de recherche mais si aucune porte n’incorpore de capteur de pression, il n’y a même pas besoin de monstre pour buter tout le monde, il suffit juste qu’ils passent d’une pièce à une autre ou qu’ils soient en retard pour prendre l’ascenseur !
Le Dr Carmack a à peine le temps d’envoyer un message d’alerte à la terre que la lourde porte vole en éclats derrière lui, laissant apparaitre la silhouette d’un horrible monstre qui… reste là sans bouger.
Mais attaque !! Reste pas comme un flan à 2 mètres du bol de sangria espèce de, hum, truc qu’on voit pas bien !!
Loser Rangers, Assemble !
Et qui envoie-t-on pour gérer la terrible attaque des monstres paralytiques et des portes sanguinaires ? Des Marines (à prononcer Meurine’s) bien sûr ! Mais attention, pas n’importe quel Marines. Dans une situation aussi critique, il faut envoyer l’équipe de déglingos la plus dégénéré et cliché de la galaxie histoire d’optimiser les chances de foirage. Et niveau déglingo, le peloton choisi envoie du très très lourd, à commencer par :
- The Rock, dans le rôle de The Rock (Le Caillou en VF) vu qu’il se croit encore sur un ring de catch et surjoue tout ses répliques en les ponctuant de froncement de sourcils capable de faire passer Jim Carey pour un paralytique facial.
- Un pervers pédophile avec le physique de l’emploi.
- Un fanatique religieux psychotique.
- Deux blacks histoire d’ajouter du suspense au jeu du "qui meure en premier".
- Un asiatique dans le rôle de l’asiatique parce que fuck le développement de personnages.
- Un petit jeune qui fait ses premiers pas dans le monde de la guerre et de l’amitié virile.
- Et enfin, "le mec qui a joué dans le seigneur des anneaux mais dont personne se rappelle son nom", dans le rôle du héros au passé ténébreux et qui le montre en passant tout le film en mode super émo "c tro dark la vi koa". Détail important, sa sœur bosse dans la base trop ultra secrète sur mars.
Donc, si on résume, pour contenir une menace risquant de mettre en péril la découverte scientifique la plus incroyable au monde depuis le stylo bic pour filles, le gouvernement envoie Jim Carey sous stéroïdes, un gros émo qui a de la famille sur place, un fanatique, un pervers et un petit jeune tellement noob qu’il y à encore deux jours de ça il devait penser que le corps des marines était un porno Front National. Il y a pas à dire, les stratèges du futur doivent être recrutés à la sortie des émissions de télé réalité pour être aussi branques !
Vers l’idiotie et au delà !
Sans plus attendre, notre équipe de choc embarque dans un hélicoptère. Pour ceux qui n’auraient pas encore compris que ce groupe de soldat d’élite est plus bête qu’une tringle à rideaux, leurs armes respectives annoncent leur pseudos à haute voix, vous savez, dès fois qu’ils l’ait oublié et préfèrent s’appeler Bob ou Tinky Winky au lieu des kikoos Reaper et Destroyer… Ils sont ensuite déposés en haut d’une colline pour attendre l’arrivée de l’ascenseur menant à la base trop ultra secrète ou est protégée l’Ark.
Enfin, je dis "secrète" mais un ascenseur géant éclairé par des projos de trouzmilles gigowatt en haut d’une colline, c’est comme jouer à cache cache avec un gilet de sécurité routière, c’est beau, ça brille mais on passe pour un con. En bas, les Meurin’s sont accueillis par un scientifique qui les guide jusqu’à l’Ark. Ark qui n’a rien à voir avec l’arme préféré de Robin des Bois dyslexique (Rboin dse Bsoi) puisqu’il s’agit d’une sphère "liquide" de la taille d’un ballon de foot. Là, le type leur explique "ne vous approchez pas, vous risqueriez d’être aspiré", avant de faire le contraire dans la seconde suivante parce que :
La sphère téléporte notre équipe dans la base martienne ou il rencontre un type en fauteuil roulant pour cause de "aplumoncucul" surnommé Pinky qui leur explique la situation. En gros, les niveaux inférieurs de la base ont été isolés à cause d’une menace inconnue qui a tuée des membres du personnel, les survivants patientent dans les étages supérieurs. La sœur du "type du seigneur des anneaux", Rosamund Pike et son éternel air étonné, débarque à ce moment là pour annoncer aux Meurin’s quel a besoin de temps pour télécharger les recherches de la base et qu’elle ne peut le faire que depuis son labo parce que, dans le futur, l’intranet n’existe pas !
C’est à cet instant que The Rock prend la première d’une longue liste de décisions débiles (si on exclu celle d’avoir accepté de jouer dans cette daube) puisqu’il confie la garde du point le plus stratégique de toute la base, l’Ark, à "Random Asiatique". Un gars tout seul, c’est tout ?!! Bon, j’admets, je suis de mauvaise foi, l’handicapé est là en renfort, ils sont donc 1,5 ! Le reste du groupe part explorer !
L’attaque du jump scare !
The Rock, qui visiblement prend goût aux décisions en carton, décide de ne laisser personne pour surveiller l’ascenseur reliant les étages supérieurs et inférieurs de la base, soit l’unique endroit par lequel la menace inconnue peut s’échapper. J’imagine qu’il a besoin de garder tous ses tee-shirt rouge et autres éclopés sous le coude pour des trucs plus importants, comme mourir pour montrer que l’heure est grave !
Ses troupes ne sont pas en reste question stupidité puisque, de son côté, "pervers pédophile" s’amuse à analyser l’atmosphère des niveaux inférieurs de la base en allant directement dedans !! Euh…ok. Et si ton appareil détecte que la pièce dans laquelle tu te trouves contient du poison tu compte faire quoi ? Semer l’air grâce à tes leet skillz en course à pied ? Tuer les molécules dans l’atmosphère avec ton fusil d’assaut ??
Malheureusement, l’air est sain. S’ensuivent plusieurs scènes à base de jump scare (Omagad un tuyaux qui pousse des cris de monstre !! Omagad des animaux en cage qui poussent des cris de monstres ! Omagad rien du tout mais qui pousse quand mêmes des cris de monstre) pour tenter de faire monter la tension. Au cours de cette exploration, The Rock découvre le BFG (le BioForce Gun, le célèbre flingue de Doom qui est à une armurerie ce que Valérie Damidot est au monde de la décoration : gros) dans un des labo de recherche de la base. Hélas, l’arme est protégée par un sas qui ne s’ouvre qu’avec l’ADN des chercheurs, il ne peut pas l’utiliser tout de suite. En même temps, c’est normal, on est au début du
De son côté "le type du seigneur des anneaux" tape la discut avec sa sœur pendant qu’elle récupère les données de son labo parce qu’il faut quand même bien que quelqu’un s’occupe d’expliquer l’histoire aux spectateurs. Les fouilles archéo de la cité martienne ont permis de découvrir des squelettes d’aliens humanoïdes et, détail étrange, leur ADN contient 24 paires de chromosomes soit une grosse paire de plus que l’être humain. Selon la sœurette qui sort cette théorie de son boule sexy, cette paire supplémentaire permettraient de rendre super fort, immunisé aux maladie, super régénérant, bref, super humain, parce que tout le monde sait qu’avoir des trucs en trop dans son ADN procure ce genre d’effets magiques.
J’imagine également que personne ne lui a signalé que les chimpanzés ont 24 paires de chromosomes et qu’à part lancer du caca avec la précision d’un sniper, cela ne leur donne aucun super pouvoirs ? En même temps, son oubli est compréhensible, elle n’est que généticienne après tout. Pour tenter d’appuyer sa théorie débile, Rosamund Pike précise que "c’est possible, après tout, 10% du génome humain nous est encore inconnu". Sainte crotte !
Le projet génome humain a été terminée à 100% en 2003 ! On en connaissait l’intégralité 2 ans avant la sortie de cette bouse bande d’escrocs donc, soit dans le futur les généticiens ont tous la cervelle liquide, soit les scénaristes sont en phase terminale de faignasserie. Hélas, pas le temps de profiter pleinement de la stupidité abyssale de cette séquence puisqu’un des Meurine’s a trouvé un survivant dans les niveaux inférieurs. Tout le monde se précipite pour voir, y compris "Soeurette" prise de pulsions suicidaires. Probablement sa façon à elle d’essayer de quitter ce film au plus tôt.
Le retour du clin d’œil
Le survivant est le docteur Carmack (*clin d’œil clin d’œil*) en personne. A l’exception d’une petite blessure au cou, il semble indemne, ce qui confirme que le monstre de l’intro s’est contenté de toucher sa nouille mutante sur le pas de la porte. "Soeurette" tente de rassurer le docteur, sans grand succès, celui-ci est en état de choc et le prouve Van Gogh staïl en s’arrachant une oreille. A moins qu’il fasse ça pour ne plus entendre The Rock jouer comme un sac, difficile à dire ! Décision est prise de l’emmener à l’infirmerie pour le soigner.
L’équipe de Meurine’s se sépare encore pour une nième séance de jump scare. De son côté, "Random black" aide "Soeurette" à porter Carmack dans son labo. L’accès de celui-ci est protégé par un nanomur (sorte de mur qui devient liquide quand on l’ouvre et que l’on peut traverser comme un passe-muraille) ce qui fait grave flippé le Meurine’s qui hésite avant de la franchir. Comme quoi, les portes sont définitivement le truc le plus terrifiant de Doom.
Dans le labo, "Sœurette" est assistée par une infirmière apparue magiquement dans la scène et dont on entendra plus jamais parler une fois celle-ci terminée. Carmack est dans un état critique, il passe son temps à couiner qu’il faut fermer le labo sinon des gens vont être atteint de décès et leur carrière d’acteur avec, toussa toussa. Pour le calmer, Rosamund Pike lui sédate la face. L’infirmière est secoué, elle craint que son mari, qui travaille dans les niveaux inférieurs, ne soit mort. "Sœurette" tente de la rassurer armée de sa meilleur trollface : "Ne t’inquiète pas, les mecs qui le recherche sont les meilleurs"
Si cette équipe est la meilleure qui existe, nous sommes face au futur le plus terrifiant de l’univers ou des soldats psychopathes unissent leur force à des scientifiques à l’intelligence de moule anémiques pour affronter des portes ! L’horreur ! D’ailleurs, pendant que Sœurette bullshitait l’infirmière, Docteur Carmack a disparu !! Comment ?? Par magie bien sur parce qu’un type blessé qui se barre sans alerter 3 personnes dont un Meurine’s surveillant une pièce exigüe dont la seule issue est un Nanomur qui fait un boucan pas possible quand il s’ouvre, même Basile le ninja invisible en est incapable !!!!
Pendant ce temps là, les autres Meurine’s se font flipper pour rien et notamment "Random Black 2" qui, au détour d’un couloir, surprend un bruit étrange dans une canalisation au plafond. Comme c’est un soldat surentrainé (un des meilleurs !), habitué à prendre les bonnes décisions sous pression, sa première réaction est de… se hisser sur une caisse afin de passer la tête dans la canalisation, vous savez, histoire de se faire bouffer la face si un truc cheloux y vit !!
C’est ça de sécher les cours de "Contrairement aux pieds de Chuck Norris, la tête ne se met pas ou on veut" du camps d’entrainement des Marines. Je sais bien qu’avec les éventuels civils survivants à protéger c’est chaud de défourailler au hasard mais, à la limite, pourquoi ne pas demander "si personne répond dans 10s je fais des troutrou dans le mumur" et seulement après TOUT PETER ?! Heureusement, tout ça n’était qu’une fausse alerte à base de singe.
Sewer level
Soudain, un des Meurine’s repère une horrible créature s’échappant dans les égouts de la base. Tout l’équipe se regroupe pour patauger joyeusement dans la fange à sa poursuite. Bien sur, personne ne prendra la peine d’expliquer why le fuck une base martienne s’amuse à gâcher des litres et des litres de flotte juste pour le plaisir d’y mélanger du caca de scientifique alors qu’ils auraient pu utiliser des chiottes sèches ou chimiques plus adaptées !!1 Le "sewer level" était imposé dans le cahier des charges, cherchez pas !!
Pour tenter de détourner l’attention de cette stupidité, le réalisateur filme toute la scène armé de la seule lumière de son téléphone portable (again). On ne voit strictement rien, c’est parfait. Histoire de faire monter la pression, le pédophile est soudainement attiré sous l’eau !! Le groupe panique et tente de le tirer de là, ce qu’ils parviennent à faire après une minute d’effort acharné. Ouf, il n’a rien, ce n’était que la 250ème fausse alerte du film, il a simplement glissé dans un trou magique !! Vous savez, le trou qui aspire magiquement une personne pendant 60 sec (pas plus) avec suffisamment de force pour que 5 hommes avec des bras de la taille de mes cuisses ne puisse l’en extirper !! Faites semblant d’y croire ou on ne s’en sortira jamais bon sang !!
Grâce au combo du scénario complaisant et du montage incohérent, le fanatique religieux se retrouve soudain isolé du groupe alors même qu’ils étaient tous collés les uns aux autres il n’y a pas 2 minutes et qu’ils ont tous des lumières sur leur flingue les rendant facilement repérable !! Ca doit être un effet secondaire du trou magique. Résultat, oh suprise incroyable, une créature en plastique moche sort de l’ombre et lui viole le cou de sa langue turgescente. Alertés par les hurlements, le reste de la troupe rapplique. Trop tard, le monstre s’est à nouveau fondu dans les ombres grâce au pouvoir bien connu de tous les monstres de film d’horreur "la discrétion à géométrie variable". La "discrétion à géométrie variable" c’est ce pouvoir qui fait qu’un monstre, aussi horrible et gros soit-il, est capable d’être le plus grand ninja de la terre en se fondant dans les ombres comme si on lui avait fait caca du nobi dessus (©SARL Jeux de Mots pourries) lors d’une scène puis, dans la scène suivante, être incapable de faire trois pas sans hurler comme si sa voute plantaire était entrée en contact avec un Lego. Si vous voulez un exemple, rematez le Godzilla amérloques et sa créature de trouzmille mètre qui joue à cache cache entre les buildings quand ça l’arrange !
Ah non, attendez, je n’ai rien dit ! La créature ne cherche pas à se dissimuler puisqu’elle fait demi tour quelque secondes plus tard pour se jeter, avec la discrétion d’une attention whore, sur l’équipe de Marines. Son sort d’invisibilité devait être sur cooldown j’imagine. Bien sur, elle se fait dessouder sévère.
Avec l’un des leur à l’agonie et le cadavre d’une créature atroce en leur possession, les Meurine’s se replient au labo !
Médiiiiiiiic
Sœurette fait tout son possible pour sauver "fanatique religieux" ce qui, en terme cinématographique, se résume à une simple défibrillation et beaucoup de cris. En vain, le pronostic vital du malheureux à obtenu un CDI. L’équipe de Meurine’s réagit à cette perte avec professionnalisme en paniquant beaucoup. The Rock, très colère, gueule après sœurette "il se passe quoi ici bon sang de bon soir ! Regardez le monstre en plastique horrible qu’on a tué, c’est pas très très normal saperlipopette", mais cette dernière jure qu’elle est au courant de rien.
Remonté, The Rock annonce :
- The Rock : Ok, on va ratisser les niveaux inférieurs et on tue tout ce qui bouge !
- N’importe quel Meurine : C’est pas ce qu’on fait depuis quasiment une heure, chef ?
- The Rock : Oui mais là c’est différent soldat, mes sourcils sont méga froncés, l’heure est grave.
The Rock se rend alors compte qu’il n’a pas pris de décision à la con depuis presque 20 minutes, il est temps de réparer ça en ordonnant "On a besoin de tous les renforts disponibles et je n’ai pas envie d’appeler la base pour qu’ils téléportent d’autres soldats. De toute façon ils n’accepteraient probablement pas, ce n’est pas comme si ce centre de recherche le plus avancé de tous les temps avait un intérêt supra stratégique ou je ne sais quoi. A la place, "Random Asiatique" tu vas nous aider au lieu de faire des trucs useless comme protéger l’endroit le plus important de la base, l’Ark. File des grenades à l’handicapé, il gèrera ça très bien tout seul.". Et comme personne ne lui indique que cette décision est "sauf votre respect Chef, quand même incroyablement stupide, Chef", c’est exactement ce qu’ils font. Brillant !
Pendant que l’équipe de bras cassés part chasser le monstre, Sœurette dissèque la créature tuée dans les égouts aidés par "Random Black". Hein ? Random Black l’assiste ?? Pourquoi ?????? Il y a pas 2 minute il n’y avait pas assez de Meurine’s pour garder l’endroit le plus important de TOUTE la base et maintenant ils se séparent d’un type pour faire de la charcuterie ?? Ca sert à rien en plus, ces monstres crèvent quand on leur tire des bastos dans le corps, c’est tout ce qui importe pour le moment, ils pourront faire leur thèse en monstre moche plus tard, au calme !!
Bien sûr, tout ça est prétexte à une nième scène de suspense avec Random Black qui sort du labo pour aller récupérer une scie chirurgicale (ça aurait quand même été bizarre d’avoir ce genre d’outil à disposition dans une salle d’opération, mieux vaut la ranger dans un placard au fin fond de la base). Comme il met du temps à revenir, Sœurette va voir ce qu’il se passe, seule, sans arme parce que réfléchir est strictement interdit dans cette daube !! S’ensuit un faux soulagement "Ouf, ce n’est que random black qui faisait exprès de rester planqué malgré mes appels juste pour me faire flipper le bataw’" suivit de l’attaque d’un vrai monstre fufu rapidement éliminé grâce à l’utilisation astucieuse du nanomur qui emprisonne la bête en se refermant dessus !
Ouaip, les murs et les portes ont le bodycount le plus important de ce film, loin devant "la meilleur équipe" de Meurine’s, la classe.
Braiiiiiiin
D’ailleurs, en parlant de Meurine’s, ceux-ci on repris leur exploration de la base. Grâce à la magie des groupes de 1, Random Asiatique se retrouve isolé. Bien sûr, oh surprise, une créature en profite pour lui sauter sur le coin du pif avant de faire caca sur l’anatomie humaine en lui arrachant la tête d’un coup de patte. Les gens d’obédience Japonaise n’ont pas d’os dans la nuque j’imagine. En tout cas, ça valait vraiment le coup de lui faire quitter son poste de surveillance pour ça, merci Le Caillou !
Comme ça leur a bien réussi jusque là, tous les Meurine’s survivants décident de se séparer. Ainsi, The Rock va récupérer le BFG ("Big Fucking Gun" aka Gros Fusil à qui ont aimerait faire l’amour) grâce à une main coupé de scientifique pour passer la sécurité ADN. Pédobear va aux toilettes et "Random Black 2" tombe dans une fosse électrifiée ou il affronte une des créature médieval stail.
Hélas, sa compétence en arme improvisé ridicule ne lui suffit pas pour vaincre son adversaire et il fini atteint de mort. Je sais ce que vous vous dites "Eh mais attend deux minutes ! L’asiatique et le Black ne sont pas les premiers à mourir dans ce film !! Le fanatique a cané avant ! Ah ah ah, dans l’os le cliché des minorités qui crèvent les premières !!" et apparemment les scénaristes vous ont entendus puisqu’à cet instant, dans le labo, le fanatique revient à la vie, changé en monstre… Juste avant de se suicider en s’éclatant la tête contre une vitre.
Ouf, les clichés racistes sont saufs ! D’ailleurs, le réveil du fanatique permet à Sœurette de comprendre quelque chose d’important : les monstres sont simplement les scientifiques de la base qui ont subit une infection et se sont transformés en effet spéciaux ratés !! Ca change to… rien en fait.
Caca from hell
Pendant ce temps là, Pédobear est au toilettes, non pas pour faire popo mais pour envoyer discrétos une demande de renforts. Ouaip, quand dans un groupe de Meurine’s, le type le plus censé est le déglinguos, pervers et drogué, ça donne une idée du niveau global. Bien sur, règle 367 d’Hollywood oblige (aussi appelée "Le corolaire du montrage de nichons"), dans un film d’horreur, quiconque va aux chiottes est condamné à mourir dans les minutes qui suivent. C’est pourquoi Pédobear se fait soudainement savatter par un nième monstre méga fufu. Alerté par ses cris d’agonie, le reste des Meurine’s rapplique dans les toilettes. The Rock tire dans le plafond avec son BFG pour dégommer la créature. Cela a pour effet de détruire à peu près tout à l’exception de la bestiole parce qu’en plus d’être un stratège en bois, il vise avec la précision d’un méchant de James Bond aveugle.
Suite à ces trois nouveaux décès, l’équipe se regroupe au labo de sœurette. Celle-ci n’a toujours pas finie de télécharger ses données parce que, dans le futur, ils sont tous en USB -12. Elle explique aux survivants ses conclusions concernant la véritable nature des monstres. Elle pense que leur état est réversible et qu’il faut les épargner le temps de trouver un remède. The Rock n’est pas d’accord, il a reçu ordre de dézingué tous les trucs cheloux et il compte bien s’y tenir parce qu’il a l’amour du travail bien fait.
Un peu saoulé de ne pas piger ce qu’il se passe dans cette base, "le type du seigneur des anneaux" met la pression à sœurette pour qu’elle visionne ce que contiennent les clés USB qui ne sont pas cryptées du tout parce que fuck la sécurité. Ils y découvrent ce qu’ils auraient pu deviner comme des grands depuis une heure : des tests du chromosome 24 sur des humains ont été effectués dans la base et c’est ce qui a causé tout ce foutoir. Un centre de recherche secret qui fait des trucs IIIIIIIVEUL, du jamais vu dans le monde du cinéma.
Pas le temps de s’appesantir sur cette révélation incroyable, Pimkie gueule dans la radio "Omagad, un truc découpe les portes menant à l’Ark !! La sécurité est compromise !! Si seulement j’avais un asiatique sans cervicales pour me protéger !!". Branle bas de combat, les Meurine’s débarquent dans la salle de l’Ark qui a été forcée par un monstre que l’on ne verra jamais mais qui est apparemment capable de tailler dans 30cm de métal comme si de rien n’était. La pièce est vide, cela signifie que la vile chose est allée sur terre. The Rock ordonne à tout le monde de se téléporter immédiatement à l’exception "du type du seigneur des anneaux" qui courre récupérer sa sœur.
Le virus manichéen
Alors qu’il s’apprête à embarquer de force "Sœurette", celle-ci lui explique la théorie qu’elle est parvenue à élaborer en 5mn depuis la dernière scène, chose qui serait crédible si elle n’était pas persuadé que les chimpanzé sont des surhommes. Selon elle, l’infection ne se propage que sur les gens au comportement violent ou psychotique (aka : méchanpabô) et exacerbe leurs mauvais traits. Elle pense que, si on est gentil, le chromosome 24 n’a que des effets positifs grâce au pouvoir de l’amour et de l’amitié. "Le type du seigneur des anneaux" n’a pas le temps de s’appesantir sur ces bullshits et il traine super-niaise à sa suite jusque sur terre !
Là, ils retrouvent The Rock qui est en train de virer IVEEEEEUL. Le vilain veut éradiquer totalement l’infection ce qui inclus femmes et enfants innocents ayant été en contact avec le chromosome 24. Enfin, je dis evil mais, en vrai, c’est le seul type censé dans cette affaire parce que, prendre le risque d’infecter l’humanité entière sur la seule base que certains survivants peuvent éventuellement être guérie, mais on en est pas sûr, c’est aussi stupide que faire du saut en parachute sans parachute en espérant qu’une bourrasque d’air amortira peut être sa chute ! D’ailleurs, sentant que le personnage de The Rock est en train de devenir intéressant car ambigüe et avec des motivations compréhensibles, bien que moralement affreuses, les dieux du manichéisme interviennent pour arrêter ces âneries. Ils invoquent "le petit jeune" qui annonce, la larme à l’œil, qu’il refuse d’exécuter les ordres ce qui permet à The Rock de le tuer d’une balle dans la mouille. Ouf, on à frôlé la complexité de justesse !
Les gentils n’ont pas le temps de faire les gros yeux au vilain pour lui faire comprendre qu’être méchant c’est méchant qu’une horde de zombies débarque, les forçant à se planquer derrière un nanomur. Hélas pour eux, le nanomur refuse de se fermer, probablement parce qu’ils s’amusent tous à tirer dessus pour contenir les infectés !! Ca revient à se plaindre qu’une porte ne marche pas très bien quand on est en train de la défoncer à la hache. Dans la confusion, "random black 2" meure et The Rock est trainé hors de la pièce par les zombies ce qui améliore instantanément le jeu d’acteur global de 100%.
Il ne reste plus que Sœurette et "le type du seigneur des anneaux". Hélas, blessé, ce dernier est mourant. C’est cet instant critique que choisi Sœurette pour péter son dernier boulon en injectant le chromosome 24 à son frère. Pourquoi ? Mais parce qu’elle sait qu’il est super gentil et que ça va le guérir. Comment peut-elle être sûre qu’il est gentil ? Parce qu’elle "le connait" bien sur, alors même qu’il ne se sont pas vu depuis 15 ans, qu’il est devenu Marine entre temps et qu’il à donc probablement tué une palanquée de gens faisant de lui un potentiel psychotique violent !!!!!!!!!!!1 Ce n’est pas parce que c’est ton frère et qu’il était cool plus jeune que ça en fait un bon gars !! Et même s’il est gentil, le Chromosome 24 va peut être juste lui filer une chiasse pour autant que tu le saches !!
Bien sûr, je vous le donne en mille, la théorie de Soeurette est la bonne !! "Le type du seigneur des anneaux" devient surpuissant sans se transformer un monstre. Apparemment ça le téléporte aussi dans un jeux vidéo puisque c’est à cet instant que la fameuse scène FPS démarre, vous savez, la scène qui rappelle à ses spectateurs qu’ils pourraient être confortablement chez eux à s’amuser sur Doom au lieu de s’encacater au cinéma !
Sa "partie" terminée, notre héros découvre que The Rock n’est pas mort mais qu’il a été infecté par le Chromosome 24, le transformant en SUPER-MECHAAAAANT ! Il va devoir l’affronter et quoi de mieux pour cela qu’un combat à main nues. Euh, attendez, QUOI ?? A MAINS NUES ?? Dans un film appelé Doom ?? Je sais bien que, par contrat, The Rock a droit à une scène de catch par tournage mais ils pourraient pas juste se sulfater la tronche ?? Comme n’importe quel combat final Doomesque qui se respecte ??
S’ensuit une baston éclairée à la bougie qui s’achève sur la téléportation de The Rock sur Mars via l’Ark. "Le type du seigneur des anneaux", victorieux, balance une bombe pour détruire complètement la base et l’infection, supprimant au passage tous les survivants restant dont des femmes et des enfants mais comme il est gentil ça compte pas. Il récupère sa sœur et ils fuient tout deux en ascenseur pour vivre heureux et avoir plein d’enfants incestueux. La fin, enfin.
Conclusage ?
Malgré tous ses défauts, incohérences et autres débilités scientifiques, je dois vous avouer quelque chose :
J’aime le film Doom !
Et attention, pas dans le sens ou un nanar devient bon tellement il est mauvais, non, je pense sincèrement que Doom est un bon film B d’action injustement haï parce qu’il a le malheur de porter le nom d’un jeu iconique.
Je suis bien conscient qu’avouer aimer ce film à des geeks c’est comme avouer que l’on aime les enfants, surtout doggy-staïl, lors d’une réunion parents-élèves, on n’est plus invité aux anniversaires, mais j’ai trop longtemps vécu dans le déni !
J’ai bien tenté de donner le change en faisant semblant de n’apprécier que les films d’arts et d’essais muets en moldave sous titré créole mais mes parents ont fini par découvrir la supercherie. Leurs derniers mots, je m’en souviens comme si c’était hier, furent une grosse glaire sur mon visage. Depuis, ils ne me donnent de leurs nouvelles qu’une fois par an.
Du coup, vous imaginez la douleur quand, une fois par semaine, entre deux "Enlarge your péniche parce qu’on sait que t’as un petit zob" et autres "T’es tellement bête et moche que tu devrais décéder – Signé un lecteur anonyme", je reçois un "vazy, fais un article pour déglinguer cette daube de Doom sale bataw’" ? Comment avouer sans décevoir que j’apprécie ce film ?? C’est pour cela que j’ai fais cette critique, pour exorciser une bonne fois pour toute ces demandes ! Seulement maintenant que j’ai fait mon coming-out, j’me dois de vous expliquer pourquoi je n’arrive pas à détester ce film alors que tout semble s’y prêter.
POURQUOI ????? (©Moundir)
Une des principale raison de mon coup de cœur pour ce film tient de son premier visionnage. C’était lors d’un Festival SF/Fantastique (Les Utopiales de Nantes) ou Doom était diffusé en avant-première. La salle de projection était bondée et tout le monde était gonflé à bloc comme s’il y avait du crack dans la ventilation. Ca a donné la meilleure séance de cinéma auquel j’ai jamais assisté ! Le moindre one-liner badass était accompagné d’un grand "HELL YEAH MOTHERFUCKER", des hurlements saluaient l’arrivée de monstres ou des morts bourrines et surtout, la séquence FPS a été applaudie pendant au moins 10 minutes, c’était épique, à tel point que j’ai eu l’impression que les 1h40 de film n’avaient durés que 5 minutes !
Du coup, j’avais peur qu’en revoyant le film, cette "magie" disparaitrait et je finirais par voir le film pour la daube qu’il est et… en fait pas du tout. A tête reposée j’ai pu identifier plus clairement tous les trucs qui m’ont plu dans ce film et qui compensent pas mal de ses aspects daubiques :
Les personnages qui sont loin d’être aussi clichés qu’ils n’y paraissent. Certes, leurs archétypes n’ont rien de nouveau mais ils sont très bien utilisés et définis de façon souvent originales à travers leurs actions comme le fanatique religieux qui s’automutile après avoir blasphémé. Pour ne rien gâcher, leurs personnalités ne sont pas si "superficielles" que l’on peut le penser, ainsi le "petit jeune", lorsqu’il est dépassé par les évènement, explique qu’il a toujours été rejeté par sa famille et la société en général et que faire partie d’un groupe de marines est la première fois de sa vie qu’il s’est senti accepté. Du coup, pour ne pas être un poids, il se met à mort la pression et est obligé de se shooter pour tenir. Le fanatique, encore lui, se suicide lorsqu’il voit qu’il se transforme en ce qu’il craint le plus au monde : un démon. Il y a finalement pas mal de matière et cela permet de ne pas être face à un groupe de marines lambda (exception faite de l’asiatique qui ne sert à rien du début à la fin et doit prononcer 3 mots de japonais).
The Rock : Malgré son jeu d’acteur à la ramasse, The Rock est un type que je trouve
Le rythme : On ne s’ennui jamais de tout le film qui démarre sur les chapeaux de roues avec les gentils Marines plongés tête la première dans la mouise dès les 15 premières minutes et qui s’achève dès la castagne finale terminée.
Les dialogues : Pas mal d’échanges entre les personnages sont excellents, notamment les concours de répliques cyniques entre le "type du seigneur des anneaux" et sa sœur ou les taquineries à l’encontre du petit nouveau. Ma préféré reste celle de The Rock lorsqu’il se dispute avec Soeurette sur le fait de sauver les infectés.
- Soeurette : On peut les sauver, leur condition est peut être réversible !
- The Rock : Non, leur condition est irréversible ! *s’approche du monstre emprisonné dans le nanomur et lui tire une bastos dans la face* Parce que leur condition est la mort !
Le film ne pète pas plus haut que son cul : C’est ce que j’apprécie le plus, Doom n’est pas un film prétentieux, il sait ce qu’il est, un divertissement bourrin, et il l’assume pleinement via une légèreté et un humour noir 2nd degrés omniprésent. Difficile de pointer un exemple en particulier mais, à choisir, je dirais la scène ou The Rock est chopé par les zombies et qu’il balance "Je ne suis pas censé mourir" comme s’il sous entendait "I’M THE ROCK MOTHERFUCKERS §§ JE MEURE PAS AVANT LA FIN DU FILM !!".
Le passage FPS : Je conçois parfaitement que regarder quelqu’un d’autre jouer n’est pas ce qu’il y a de plus palpitant et pourtant, je trouve cette scène géniale. Déjà, elle est très bien réalisée (je suis sûr que 95% du budget effet spéciaux est allé dedans) et surtout, elle est farcie de traits d’humour noir et de clins d’œil au jeu. Je pense notamment au passage ou le héros tire sur son propre reflet parce qu’il a flippé (le nombre de fois ou j’ai pu le faire dans des FPS glauque) voir le passage avec la tronçonneuse. Pour moi, c’est le meilleur hommage que l’on pouvait faire à Doom.
Alors oui, ce film est loin d’être exempt de défauts et je peux parfaitement concevoir qu’échanger un portail vers l’enfer avec une infection qui rend méchant est un doigt d’honneur qui fait mal au postérieurs des fans, mais cela n’empêche pas qu’il soit fun, rythmé et bas du front, bref, exactement comme j’aime mes partie de Doom ! Donc, si vous ne l’avez pas encore vu, chopez des bières, des pizzas et des potes et matez le sans a priori, sa réputation de "presque pire" film tiré d’un jeu vidéo est, je pense, très injuste.
Me voilà en paix ! Vous pouvez me pointer du doigt en faisant AH AH et me jeter des petits détritus dans les yeux maintenant. Ou, si vous aussi vous avez besoin de faire votre coming-out, balancez en commentaire les films que vous aimez sans oser l’avouer à cause de cette catin de pression sociale !!! Yeah, thérapie !
Notage :
(8/10 si vous avez les même gouts de chiotte que moi)
(4/10 pour les autres)
Soucis technique sur le blog : Parce qu’il faut bien que ce blog soit aussi pénible que le type chelou qui écrit dedans, Nioutaik subit pas mal de soucis techniques en ce moment. Le premier est la bande passante asthmatique. Vous êtes beaucoup à vous manger des erreurs de chargement voir des images qui ne s’affichent pas correctement (vous pouvez régler ce problème d’un appuie délicat sur CTRL+F5). J’essaie de voir pour alléger la charge et/ou avoir une bande passante plus importante pour accueillir le trafic qui augmente fortement dans de bonnes conditions.
Autre soucis, le spam de plus en plus insidieux qui parvient à contourner quasi à chaque fois mon antispam. Antispam qui déconne au point de censurer plein de commentaires légitimes. Je surveille ça de près et j’étudie une solution bourrine à coup de CAPTCHA qui sera un peu contraignante mais évitera ce genre de désagrément à l’avenir.
Moins grave, par je ne sais quel phénomène magique, 1000 abonnés au flux RSS du blog via Netvibes ont purement et simplement disparu. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé, c’est arrivé du jour au lendemain (le 16 décembre pour être exact). Ca fait beaucoup pour être une simple erreur donc si vous utilisez Netvibes, vérifiez que tout fonctionne et si vous êtes quelqu’un qui bosse chez Netvibes, si vous avez une idée de ce qui a pu se passer, je vous ferai un petit bisou sur les fesses en remerciement !
Dernière chose, avec les fêtes qui arrive je vais être un peu charrette niveau temps, le prochain article ne sera donc probablement pas dans une semaine. Je préviendrais sur Twitter/Facebook (inscrivez vous depuis le menu à droite) pour faire genre je suis à la pointe du Web 2.0 lorsque j’en saurais plus.