Image by Emilio Segre Visual Archives via Flickr
Bohms
C'est une citation de Satprem , de son vrai nom Bernard Enginger, né à Paris le 30 octobre 1923 et mort le 9 avril 2007Arrêté par la Gestapo à l'âge de vingt ans et passe un an et demi dans le camp de concentration de Mathausen.
Il se retrouve ensuite en Haute-Égypte, puis en Inde;Il devient le disciple de Aurobindo et de Mère.
Ils parlaient déjà de la mémoire cellulaire
Ceci sera confirmé par les travaux de Bohm et Pribam , des scientifiques, tout deux prix Nobel
On retrouve cette implication dans le travail de Françoise Dolto, de Larroche d'Anne Ancelin Schützenberger et la transgénéalogie,ou encore Willy Barral
Car notre corps est le réceptacle de tous les souvenirs passés de notre histoire propre ou celle nos parents, nos ancêtres- héritage familial, social et culturel et toutes ces émotions y sont inscrits et enfouies.
Le monde de nos émotions habite entièrement notre corps et celles-ci nous traversent sans cesse, nous maintiennent en état d’éveil et de désir de vivre à condition qu’elles ne nous débordent pas, ou ne s’enfouissent pas dans le silence, les résistances et les évitements.
Toutes ces émotions, souffrances, peurs, traumatismes laissent des traces et empreintes sur le corps physique et émotionnel qui sont comme des mémoires qui s'inscrivent dans les cellules subtiles de notre organisme. Le corps est esprit et l'esprit est le corps:Le corps n'est que la manifestation de l'esprit
Satprem
Se pourrait-il que la Matière première du monde, la cellule, recèle un pouvoir de conscience ou un “mode vibratoire” qui rende caducs tous nos moyens cérébraux et nos artifices sans issue ?
un Mental des cellules qui nous ouvrira de nouvelles sources d'énergie, de nouveaux moyens de communication, un nouveau pouvoir de manipuler la Matière. Une biologie nouvelle et une conscience nouvelle qui permettront d'affronter le défi d'une espèce en voie d'auto-destruction. Telle est l'incroyable découverte de Sri Aurobindo et de Mère dans les cellules du corps, à l'heure où la terre asphyxie. Car le salut est physique, disait celle qui, à 80 ans, osait frapper à la dernière porte du corps et faisait la plus formidable découverte depuis Darwin. »