Silhouettes

Publié le 02 novembre 2012 par Polyphrene

Took a walk and passed your house late last nightAll the shades were pulled and drawn way down tightFrom within, the dim light cast two silhouettes on the shadeOh what a lovely couple they made
Put his arms around your waist, held you tightKisses I could almost taste in the nightWondered why I'm not the guy whose silhouette's on the shadeI couldn't hide the tears in my eyes
Ah-ah-ah-ah-ah...Ah-ah-ah-ah-ah...
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Cette chanson de Bob Crewe et Franck Slay fut d’abord chantée, en 1957, par The Rays et par The Diamonds, avant de connaître à nouveau un grand succès grâce aux Herman’s Hermits en 1965 (photo). Cette gentille histoire de méprise amoureuse se conclut sur une « happy end ».Les ombres chinoises ont, de tout temps, offert un formidable support à l’imagination, comme un véritable test de Rorschach : chacun peut voir ce qu’il souhaite ou ce qu’il craint et, comme dans les meilleurs romans, faire lui-même la plus grande partie du chemin que l’auteur se contente de suggérer.
Silhouettes
Passant devant ta maison, tard hier soirSur les rideaux bien tirés, j’ai pu voirSe mouvoir deux silhouettes que l’ombre dessinaitQuel charmant couple cela faisait
Il te tenait par la taille, bien serréeJe pouvais presque sentir vos baisersPourquoi n’était-ce pas là ma silhouette à moi ?Je pleurais, plein de désarroi
Ah-ah-ah-ah-ah...Ah-ah-ah-ah-ah...
N’y tenant plus, j’ai sonné ; je souffraisOuvrez la porte ou je vais l’enfoncerMais les deux étrangers qui s’étaient silhouettésM’ont dit « C’est la maison d’à côté »
J’ai volé jusqu’à ton nid, mon amourPour t’aimer plus que jamais, pour toujoursJ’ai souhaité que toi et moi fassions deux silhouettesPour toute la vie, fassions deux silhouettes(Traduction - Adaptation : Polyphrène)
(Traduction – Adaptation : Polyphrène)