"C'est la première équipe à me donner cette opportunité, j'adore les gars ici" déclare-t-il dans le Los Angeles Times. "La franchise et le style de jeu me vont bien, je veux vraiment rester ici."
Après trois saisons sans saveur du côté de Phoenix puis Orlando, Clark n'avait jamais été sur le devant de la scène. Quantité négligeable cet été, lorsque le cirque Dwight Howard est arrivé à son terme, il a atteint le statut d'un joueur qui pourrait recevoir quelques propositions cet été.
"Évidemment, de ne pas jouer et de produire ce genre de stats, je ne savais pas où j'allais finir. Maintenant je joue bien et je vois que d'autres équipes pourraient vouloir de moi, ça fait du bien d'être dans la position de pouvoir choisir."
Earl Clark tourne cette saison à 7.2pts et 5.8rbds en moyenne par match mais cumule surtout 10.3pts et 8.4rbds en janvier, sans montrer de baisse en février (13pts et 10rbds, puis 17pts et 10rbds sur ses deux matchs). Un rayon de soleil dans la saison embrumée des Lakers.