The Blue Rose // Saison 1. Episode 1. There is a Light That Never Goes Out (Pilot).
Il est rare de voir des productions néo-zélandaises. Dans un premier temps car elles sont très peu nombreuses, et dans un second temps car elles sont parfois difficile à trouver. Et ce même si la
Nouvelle Zélande est le pays de Kim Dotcom, le créateur de Megaupload. On doit The Blue Rose à Rachel Lang, la créateur de la
comédie Nothing Trivial (une comédie assez originale qui ne m'a pas plus marqué que ça). Ce premier épisode était assez médiocre dans son ensemble. Le problème c'est que cette
série me rappelle une série policière de ABC : The Forgotten (avec Christian Slater) et le moins que l'on puisse dire c'est que ce n'est pas ce
qu'il y a de plus reluisant (bien que la série d'ABC s'est bonifiée au fil des épisodes). The Blue Rose tente donc de nous raconter une histoire différente, et
originale, loin des carcans que l'on connait. Sauf que cela ne fonctionne pas vraiment. Le problème vient surtout d'un tout. Pas assez bien fichu à mon goût.
Un drama contemporain intelligent d'investigations dans lequel le personnel de bureau unissent leurs forces pour lutter pour la justice dans le monde corrompu de l'entreprise.

En effet, on se rend rapidement compte que derrière le sujet se cache quelque chose de pas très recherché. J'aurais bien aimé que l'on creuse l'aspect investigation avec des personnages plus atypiques et plus marqués. Je trouve par exemple que les personnages manque d'humour. Peut être qu'un côté décalé aurait pu être un plus dans une série qui avait un sujet plutôt intéressant à la base. Maintenant, je n'irais certainement pas plus loin que ce premier épisode qui m'a donné un aperçu assez large de ce à quoi je devrais m'attendre pour les épisodes précédents et je suis désolé mais les cas de la semaine, je me vois mal les suivre. Surtout s'ils sont aussi rutilants que celui de "There is a Light That Never Goes Out". Les néo-zélandais ne sont pas les plus mauvais créateurs de séries (j'ai notamment adoré The Cult de chez eux), mais ils ne sont pas non plus les plus surprenants.
Note : 4/10. En bref, un pilote passe partout et gonflé de quelques trous d'ennui malgré un sujet de base intéressant, permettant de polariser avec ce que l'on voit en procéduraux de nos jours.