Person of Interest // Saison 2. Episode 14. One Percent.
Alors que la première partie de la seconde saison est maintenant achevée, Person of Interest peut se lancer dans de nouvelles aventures et c'est au détour de flashbacks encore
une fois plutôt bons que l'on va en apprendre un peu plus sur la construction de cette Machine. Je suppose que maintenant la série va se concentrer sur Finch et son lien avec la Machine. J'aime
bien cette idée car finalement, cela ajoute une dose supplémentaire de bonnes choses pour développer la mythologie. "One Percent" n'est pas l'épisode qui change le plus la série
mais il parvient malgré tout à la faire évoluer dans une toute nouvelle direction en revenant sur la construction de la Machine et donc, pourquoi tout cela a commencé. Pendant ce temps nous
allons suivre un cas de la semaine assez classique dans son ensemble mettant en scène Jimmi Simpson (Breakout Kings, The Invention of Lying)
dans le rôle d'un personnage faisant écho à Mark Zuckerberg, le créateur de Facebook.
En effet, Logan est l'inventeur d'un réseau social à succès qui a presque atteint le milliard d'inscrits. Durant la plupart du temps au début de l'épisode j'ai repensé à The Social
Network, le film de David Fincher sur la création et le créateur de Facebook. Il est impossible de ne pas voir les liens. Mais il y a aussi un ajout
supplémentaire à tout cela qui est l'histoire proche de Facebook et son entrée en bourse. Plutôt bien gérée dans son ensemble, la présentation du personnage était plutôt efficace et ce malgré le
côté ultra antipathique du personnage qu'est Logan. Bien loin d'être aussi fun que Jesse Eisenberg, Jimmi Simpson incarne un personnage qui n'a que l'apparence
en similitude. En effet, on peut saluer le fait que les scénaristes se sont juste inspirés de la surface pour en faire quelque chose de complètement différent dans le fond (j'ai bien aimé
notamment quand il confronte Reese et Finch sur leurs réelles motivations ce qui permet encore une fois de faire un lien avec les flashbacks).

Note : 7.5/10. En bref, quand The Social Network se fait violence.