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Arab Jazz, entre escroquerie littéraire et propagande létale

Publié le 08 février 2013 par Bravepatrie

Grand prix de la littérature policière 2012, le documentariste et pseudo écrivain Karim Miské est de ces imbéciles utiles, révélateur flagrant de l’état de déliquescence du paysage littéraire français, pour ne pas dire de la société toute entière.

Édité par la maison d’éditions sioniste Viviane Hamy, le franco-mauritano-islamo-sénégauchiste Karim Miské arpente depuis presque un an salons, médiathèques et librairie pour propager au fil de lectures-conférences ses idées socialo-nihilistes.

Sur le fond, l’auteur manie l’amalgame œcuménique avec art. Certes, l’enquête policière racontée dans Arab Jazz semble alerter le lecteur sur le risque salafiste qui gangrène notre Patrie, si faible qu’elle laisse prédicateurs hallucinés et autres mollah sévir en pleine rue.

Mais rapidement, il appert que puisqu’il faut révéler la véritable nature de l’Islam, il convient en retour de se faire du chrétien, de bouffer du youpin [1]. Le procédé de la rhétorique kamikaze est aussi grossier qu’efficace : associer dans l’opinion la négativité réelle de l’Islam à celle supposée de la Vraie Foi.

Son gauchisme athée se révèle d’ailleurs de façon absolument criante lorsqu’il écrit que « Dieu est le dealer suprême », reformulation à peine déguisée de l’« opium du Peuple » du Père-80-millions-de-morts. [2]

Une parodie de polar

Sur la forme, ce fatras de pages imprimées n’a de Polar que l’apparence baillée par un marchandisage bien rôdé. Une couverture noire, un prix de la littérature policière probablement acheté, un meurtre comme point de départ et quelques flics pour décorer.

Là où on attendrait un canevas simple et efficace, Karim Miské se complait dans une écriture précieuse (pédé. NDLR), voire parfois poétique, à mille lieux du roman de gare qui fait tout le cachet d’un bon polar.

Pis, le métisse peu rigoureux pousse le blasphème jusqu’à se faire démiurge : profonds, ses personnages prennent littéralement vie et conduisent l’histoire. Interpelé par votre serviteur le 7 février lors d’une lecture-rencontre à la Médiathèque de Saint-Mandé [3], ledit Karim Miské a confirmé notre analyse : « Les personnages précèdent la résolution de l’intrigue, que je n’avais pas prévue à l’avance. »

Et d’ajouter d’un simple regard : « D’ailleurs, j’encule ta mère et la France. Inch Allah ! »

Notes

[1] Du Loubavitch, pour être exact, alors qu’il s’agit très certainement des seuls Juifs respectables.

[2] Le gros barbu boche génocidaire. Oui, Karl Marx.

[3] Pourtant fief du député-maire UMP Patrick Beaudouin, autre signe des temps révélateur de la pression gauchiste qui s’exerce sur les représentant de la France Vraie.


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